À 77 ans, cette retraitée encaisse la maigre somme de 883 € par mois : ses astuces pour survivre !

Alors qu’elle ne touche qu’une maigre retraite de 883 € par mois, cette septuagénaire s’est récemment confiée sur ses petites techniques afin de survivre. On vous dit tout !

Comment survivre au quotidien lorsqu’on bénéficie d’une retraite misérable ? Bernadette (77 ans) nous dévoile ses petits secrets. Le point à travers cet article !

Bernadette : une retraitée qui vit avec 877 € par mois

A 77 ans, Bernadette est une retraitée qui bénéficie d’une maigre retraite de 877 €. Lorsqu’on prend en compte la situation de crise actuelle qui paralyse le pays, associée à la baisse du pouvoir d’achat, nous sommes tous d’accord pour dire que cette somme reste dérisoire, surtout à l’âge du senior. Cela ne l’empêche pas pour autant d’être heureuse et de vivre du jour le jour.

Notre retraitée a eu l’opportunité de rencontrer la journaliste Charlotte Leloup (de Paris Match) avec qui elle s’est confiée à cœur ouvert sur sa situation. Un reportage émouvant qui a donné lieu à la naissance d’un ouvrage intitulé « Un bol de coquillettes et puis voilà… », sorti aux éditions Flammarion. Dans son ouvrage, la journaliste confie : « On se parlait tous les soirs durant le confinement, je voulais savoir comment elle faisait pour s’en sortir avec si peu d’argent ».

La journaliste poursuit : « Il y a des soirs où elle est moins bavarde. Une belle relation s’est installée entre nous au fil des jours ». Dans son témoignage, Bernadette raconte : « Au début de mon mariage, j’avais espéré au bonheur. Hélas, ça n’a pas duré ». Heureusement, elle a pu compter sur les soutiens financiers dédiés aux mères célibataires.

« Il y a beaucoup de choses que je ne peux pas acheter »

Bernadette poursuit : « Le loyer, l’électricité, l’assurance décès pour mes enfants…davantage de dépenses qui ont alourdi la facture et qui ont fait qu’il ne me restait plus grand-chose à manger. Il y a beaucoup de choses que je ne peux pas m’offrir comme les épices et le laurier. C’est fou comme c’est onéreux ». Morale de l’histoire : il en faut peu pour être heureux.