A 96 ans, elle doit encore travailler 3 jours par semaine pour avoir un « objectif de vie »

 

A 96 ans, Irene Astbury poursuit son travail au sein d’une société proposant des produits pour animaux afin d’avoir un « objectif de vie ». On vous raconte tout !

Le fait de travailler plus longtemps rallongerait-t-il l’espérance de vie ? Dans tous les cas, ce n’est pas Irene Astbury qui nous dira le contraire ! Malgré son âge avancé, elle ne chôme pas chez Pet Food Supplies. Ltd. La veuve ne compte pas prendre sa retraite à 96 ans.

Une employée qui adore son travail

Interrogée par nos confrères de BBC, Irene confie : « Je ne m’en irais pas tant qu’ils ne m’auront pas demandé de partir ». Sa petite fille, Gayle Parks officie chaque jour à ses côtés au magasin. « Elle adore venir ici. Elle n’aurait rien à faire à la maison. C’est sa vie », explique-t-elle dans les colonnes de Mirror, avant d’ajouter : « Elle adore discuter avec les clients qu’elle sert depuis plusieurs années ».

A l’heure actuelle, la nonagénaire travaille à hauteur de 25heures et demie par semaine, trois jours sur sept. Elle a pour mission de déterminer les prix des produits proposés derrière la caisse, de vérifier les factures et de surveiller ses collaborateurs en magasin. Des taches quotidiennes qui lui permettraient d’avoir un « objectif de vie », comme elle le souligne auprès de nos confrères.

A 96 ans, il est hors de question pour Irene de chômer !

Dans sa prise de parole, Irene poursuit : « C’est mieux que de rester chez soi ! En plus, je peux surveiller les jeune de près. Je suis toujours en mesure de travailler et c’est le plus important… Je refuse de rester à rien faire à la maison ». De son côté, sa petite-fille est très fière de sa mamie qui selon elle représente un « modèle d’inspiration ». A la suite de ses dures années de labeur, la mère de famille a été récompensée « femme de l’année du Cheshire ».

« Nous ignorons l’identité de la personne qui l’a désigné ainsi. Lorsqu’on nous avait contacté pour nous dire qu’elle figurait dans la liste des participants, nous avions cru que c’était une blague. Ensuite, nous avons reçu une lettre officielle. C’était formidable », s’exclame sa petite-fille. Longue vie à Irene !