S’il y a bien une émission qui cartonne sur France 2, c’est « Affaire conclue ». L’une des antiquaires du programme a récemment créé la surprise en dévoilant ses millions d’euros de dettes à cause de… sa mère. On vous raconte tout !
Caroline Margeridon figure parmi les acheteurs préférés des fans d’Affaire conclue. Une notoriété que l’on doit sans doute à sa personnalité attachante. Mais la mère de famille n’a pas toujours vécu une enfance facile…
« Je n’ai jamais accepté, j’ai du mal à pardonner… »
À l’occasion d’un entretien pour Télé Loisirs¸ Caroline Margeridon a confié : « Lorsque j’ai quitté le père de mes enfants, je suis partie seule sans rien avec deux valises et mes couffins ». L’acolyte de Sophie Davant n’a pas toujours mené une vie confortable et son divorce a été un véritable coup dur pour l’acheteuse de France 2. À l’occasion d’une récente interview pour Gala, elle a confié avoir coupé le contact avec ses parents en raison de soucis financiers.
Dans sa prise de parole, la meilleure ennemie de Pierre-Jean Chalençon souligne : « Ma mère est décédée il y a un an. J’avais 22 ans lorsque je l’ai vu pour la toute dernière fois. Aujourd’hui, j’en ai 56. Elle a demandé à me voir avant de mourir comme mon papa il y a deux ans de cela. Je n’ai jamais accepté, j’ai du mal à pardonner ».
La jolie blonde n’a jamais pardonné à ses parents l’enfance terrible qu’elle a vécu à cause deux. « Vue de l’extérieur, on se faisait passer pour la famille parfaite avec les Jaguars, les chevaux de polo… Mais au fond, c’était l’enfer », a-t-elle déploré.
8 millions d’euros de dettes…
Caroline Margeridon enchaine les confidences en expliquant : « Mon seul souvenir d’enfance, c’est lorsque je m’isolais dans ma chambre pour ne plus les entendre se disputer. C’est pour cette raison que je n’ai jamais aimé mon père ». Durant son enfance, l’acheteuse d’Affaire conclue a dû interrompre ses études pour suivre sa mère sur les marchés. Une dette de plus de 8 millions d’euros qui a fini par la séparer de sa mère.
À ce propos, la principale intéressée souligne : « Elle était joueuse comme sa propre maman. Je me suis retrouvée avec des millions de dettes pour qu’elle ne se retrouve pas ruinée… j’ai ensuite coupé le pont avec elle ». À la mort des parents de l’antiquaire, celle-ci n’a jamais rien voulu savoir sur leur héritage. « Je n’ai rien voulu », a-t-elle conclu.