Magali Berdah est dans de beaux draps ! Une influenceuse a récemment dénoncé ses procédés et la poursuit en justice pour lui remettre la somme de 2 millions d’euros. On vous dit tout !
Pointée du doigt dans l’émission Complément d’enquête, Magali Berdah voit son quotidien chambouler ces derniers mois. Celle qui est à la tête d’une agence d’influenceurs est au centre d’une affaire contentieuse qui devra être réglée au sein du tribunal de commerce de Paris.
Affaire Magali Berdah : une influenceuse exige plusieurs millions d’euros !
Dans son numéro de cette semaine, le magazine Vanity Fair apporte plus de précisions sur cette affaire houleuse. L’influenceuse Emma Cariitz (alias Emma Cakecup) poursuit Magali Berdah en justice pour ne pas lui avoir rétribué à l’issue de son travail. Son avocat annonce un contentieux chiffré à 2 340 000 €. Dans sa prise de parole, il dénonce une manipulation de la part de la femme d’affaires. Sa cliente aurait commencé à travailler pour l’agence « Shauna Events » en 2018.
Au cours de leur entretien, la future embauchée explique que Magali lui avait fait part de ses liens avec LVMH. Elle finit alors par contracter avec Sublim Talent qui appartient à la société Shauna Events. Il a été convenu qu’elle sera rémunérée 2 280 000 € sur deux ans, soit un salaire mensuel de 95 000 €.
« Si tu nous poursuis en justice, c’est fini pour toi ! »
A la suite de nombreuses relances sans réponses, Emma Caritz décide de poursuivre son travail dans l’espoir de se faire payer. Mais son salaire n’est jamais arrivé. Comme elle a conclu un contrat exclusif, elle ne peut travailler pour d’autres boîtes. Le regret est immense pour la jeune femme. « J’avais honte d’avoir cru en de si belles paroles », déplore-t-elle. Plus tard, elle apprend qu’elle n’est pas suffisamment rentable et qu’il faut réduire son salaire de 95 000 à 10 000 € !
A l’époque, Magali lui avait menacé : « Si tu nous poursuis en justice, c’est fini pour toi ! Tu ne pourras plus jamais trouver un travail ! ». La jeune femme, excédée par la situation, décide de dénoncer la piètre qualité des produits qu’elle est censée vendre. L’issue de l’affaire doit être prononcée d’ici le mois de novembre prochain…
