Affaire Patrick Poivre d’Arvor : Jacques Legros brise le silence et fait des révélations inattendues !

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Pour la première fois, Jacques Legros a décidé de sortir du silence dans le cadre de l’affaire Patrick Poivre d’Arvor. Retour sur les révélations inattendues du journaliste !

Le weekend dernier, Jacques Legros s’est livré à cœur ouvert au sujet de l’affaire Patrick Poivre d’Arvor à l’occasion de ses échanges avec Jade et Éric Dussart sur le plateau de « On refait la télé ». Le point à travers cet article !

« J’espère être entendue par la justice… » 

Voilà maintenant plusieurs mois que Patrick Poivre D’Arvor se retrouve au cœur de la polémique. En tout, 20 femmes ont porté plainte contre l’ancien journaliste de TF1 pour abus sexuels et comportements agressifs. Il y a quelques semaines, les victimes s’étaient réunies pour dénoncer l’ancien compagnon de Claire Chazal. « C’est la première fois que je donne mes opinions sur cette sombre affaire. J’espère être entendue par la justice », confie l’une des victimes.

En plein cœur du bad buzz, Jacques Legros a décidé de réagir à son tour. Convié par Jade et Éric Dussart, l’animateur de 70 ans assure n’avoir jamais assisté à une scène abusive avec son ancien collègue. « J’aurais pu être l’un des premiers à avoir été informé. Mon bureau était tout près, on se rencontrait souvent. Je connaissais parfaitement ses proches, ses collègues, son assistante », précise-t-il.

Les révélations fracassantes de Jacques Legros

Jacques Legros n’est cependant pas étonné par la négligence des dirigeants de TF1 face à la non-fiabilité des témoignages. Comme le souligne le présentateur : « Aujourd’hui, on a beaucoup de respect pour les femmes élémentaires, mais à l’époque elles ont préféré garder le silence », a-t-il confié au micro de RTL.

Le joker de Marie-Sophie Lacarrau enchaîne en ajoutant : « On a du mal à le croire de nos jours, car on pense que l’univers naît avec sa propre naissance, que l’histoire commence à cet instant. Mais non, l’histoire a commencé il y a bien longtemps ». Dans tous les cas, le journaliste est soulagé que les femmes libèrent enfin la parole face à ce genre de situation. À la bonne heure !