Alerte arnaque : méfiez-vous de ces placements « miracles » !

Les arnaques ne cessent de se multiplier en ces périodes de vacances. Aujourd’hui, nous vous invitons à redoubler de méfiance devant ces placements « miracles ». Le point à travers cet article !

Avis à tous ceux et celles qui souhaitent réaliser un placement. Faites très attention à cette nouvelle forme d’arnaque qui fait de plus en plus de victimes en France. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !

Les escrocs se font passer pour des agents de la banque

Le sportif Yohan Mollo a perdu plusieurs millions d’euros pour avoir fait aveuglément confiance à des escrocs. La même chose est arrivée à Ludovic Giuly. Pour éviter de tomber dans les pièges des arnaqueurs, il convient de comprendre leur mode opératoire. L’année dernière, l’ACPR a filtré 1 202 acteurs auprès des sites qui proposent de l’épargne aux clients en France. Ces faux crédits sont souvent octroyés par des personnes qui se font passer pour un établissement bancaire.

Nous vous invitons à faire preuve de prudence face aux beaux parleurs qui proposent des épargnes « zéro risque ». Il faut à tout prix éviter les placements hasardeux qui sont difficiles à saisir et qui ne font que remplir les papiers. Mais ce n’est pas tout ! Il convient également de se méfier de soi-même. Ce qui n’est pas toujours évident.

Méfiez-vous des placements qui promettent des rendements miraculeux

Il convient de rester froid face à certains types de placements et de bien réfléchir avant de prendre une quelconque décision. N’hésitez pas à laisser libre cours à vos sentiments et n’oubliez pas qu’il n’existe aucun placement « zéro risque » ! Méfiez-vous des personnes qui vous promettent de remporter 8 à 10 % sans prendre le moindre risque.

En cas d’incertitude, il est vivement recommandé de faire appel à un intermédiaire financier en cherchant son contact sur le site web officiel de l’ORIAS (Organisme pour le Registre des Intermédiaires en Assurance). Les documents transmis aux demandeurs doivent mentionner l’adresse, le contact et surtout l’identification ORIAS.