Bonne nouvelle pour les bénéficiaires des allocations familiales qui vont bientôt profiter d’une nouvelle revalorisation. Le point à travers cet article !
Compte tenu du contexte de forte inflation, certaines allocations sociales dédiées aux familles modestes vont faire l’objet d’une revalorisation. La hausse devrait être effective d’ici l’année prochaine. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !
Revalorisation des aides sociales
L’inflation ne cesse de compliquer le quotidien de nombreux Français. Pour venir en aide aux foyers disposant d’un revenu « modeste », l’Etat a prévu de revaloriser certaines allocations sociales. C’est notamment le cas du complément du mode de garde ou CMG pour les tribus monoparentales. D’ici l’an prochain, le pouvoir exécutif projette d’augmenter les aides financières dans le cadre de projet de loi lié à la Sécurité sociale.
Cette année, la revalorisation sera appliquée suivant le taux d’inflation actuel. Par conséquent, les allocations sociales feront l’objet d’une hausse de 1,7% à partir d’avril 2023. C’est en tout cas ce que rapportent nos confrères des Echos dans son numéro de ce mois. Toujours selon l’hebdomadaire, le RSA (Revenu de solidarité active) ne sera pas épargné par cette nouvelle mesure.
Un dispositif prévu pour 2023
Au même titre que le RSA et la prime d’activité, cette revalorisation des allocations sociales intervient au mois d’avril. Cette année, elle est intervenue le même mois suivant une hausse de 1,8%. Le mois suivant, une nouvelle augmentation a été décidée par le gouvernement (+4%). En 2023, il n’est pas sûr que la revalorisation se fasse, une nouvelle fois, à deux reprises. Toutefois, une augmentation anticipée n’est pas à écarter.
L’opposition a déjà fait une proposition en ce sens au cours de l’analyse du projet de loi lié à la sécurité sociale. Tout dépendra des résultats des votes du Sénat d’ici les prochaines semaines. A titre de rappel, ce texte prévoit l’instauration de mesures destinées à améliorer l’accès aux soins et combattre les impayés de pension.