Le fossé ne cesse visiblement pas de se creuser entre Anne-Sophie Lapix et Bixente Lizarazu. Aux dernières nouvelles, la journaliste a décidé de relancer les hostilités. Le point à travers cet article !
Bixente Lizarazu et Anne-Sophie Lapix sont tous les deux issus du Pays basque. Aujourd’hui, les deux célébrités se livrent dans une bataille sans merci sur Instagram. Une guéguerre hilarante qui amuse les internautes sur les réseaux sociaux.
Une guéguerre amicale entre Anne-Sophie Lapix et Bixente Lizarazu
Voilà maintenant plusieurs mois que Bixente Lizarazu et Anne-Sophie Lapix se livrent dans une bataille sans merci sur la Toile. Pourquoi ces tensions entre l’animatrice et l’ancienne star du football ? En vérité, ils ne sont pas en froid. Les deux habitants de Saint-Jean-de-Luz jouent tout simplement à un jeu visant à poster les plus beaux paysages et couchers de soleil sur la Toile.
Alors qu’ils sont actuellement en pleines vacances, les deux acolytes immortalisent les meilleurs couchers de soleil pour le plus grand plaisir des abonnés. Vendredi dernier, la jolie blonde de France 2 a posté une photo d’elle avec un sublime coucher de soleil et de magnifiques bateaux en arrière-plan.
Dans la barre des commentaires, le sportif a écrit : « Étant donné que tu n’as aucune chance sur le Sunset, tu essaies d’exploiter le filon de la lune… rusée ! Mais cette manigance diabolique n’aura aucun impact sur la réalité des faits : “I am the big boss” ». Mais pour la principale intéressée, il est hors de question de se laisser piétiner !
« Tu as jeté l’éponge… »
En guise de réaction, Anne-Sophie Lapix a répondu : « C’est surtout que tu ne te rends plus aux festivités Bibixe, tu as jeté l’éponge… faute de concurrent, je pars à la découverte d’autres challenges ». Quelques jours plus tôt, la présentatrice de 50 ans avait posté une autre photo avec pour description : « Sans nuages… ». Et son meilleur ennemi de commenter : « Sans originalité surtout ». Comme quoi, les chamailleries ne sont pas près de se terminer entre ces deux-là.
