Alors que TF1 vient de lancer le grand retour de « Star Academy », Armande Altaï, ancienne enseignante de l’émission s’est livrée à cœur ouvert sur sa situation financière.
Samedi dernier, les fans de Star Academy ont assisté au grand retour du télécrochet sur TF1. L’occasion de se remémorer de jolis souvenirs tout en découvrant l’identité des nouveaux participants. Certains téléspectateurs se posent par ailleurs des questions sur ce qui est advenu des anciens professeurs à l’instar d’Armande Altaï.
Qu’est-il advenu d’Armande Altaï ?
Armande Altaï, institutrice phare de l’émission « Star Academy » a marqué les esprits des fans du programme. A titre de rappel, l’enseignante a par la suite été promue directrice de la maison. Avec son style déjanté et ses cours inoubliables, elle a rapidement conquis le cœur des téléspectateurs. En 2020, elle s’est entretenue avec Jordan De Luxe pour partager de ses nouvelles.
Dans sa prise de parole, l’ancienne enseignante avait dévoilé ce qu’elle gagne comme pension de retraite. « Je ne suis pas riche, je n’ai pas de sou. J’empoche 900 € de retraite. C’est ce qui arrive lorsqu’on est des artistes marginaux, ceux qui ne réalisent pas des activités bénéfiques », souligne-t-elle dans sa prise de parole.
L’enseignante obligée de travailler jusqu’à sa mort
Sur le plateau de Jordan De Luxe, Armande Altaï poursuit : « Je serai contraint de travailler jusqu’à la mort, mais il n’y a pas de souci ». Un nouveau tournant dans la vie de l’artiste qui doit désormais poursuivre ses activités en dehors de l’écran. Une situation qu’elle a fini par accepter au fil du temps. A l’époque de la Star Ac’, elle empochait dans les alentours de 30 000 francs pour deux mois et demi mais la majorité de cette somme va dans les impôts.
Ensuite, la célébrité avoue gagner 20 000 € par mois. A ce propos, la principale intéressée souligne toutefois : « C’est rien comparé à ce que gagnent les gens dans The Voice par exemple ». Aujourd’hui, elle ne peut plus se permettre de vivre dans un tel confort, expliquant devoir travailler jusqu’à la fin de sa vie pour s’en sortir.