Une nouvelle forme d’arnaque fait aujourd’hui des ravages en France. Les escrocs se servent de la plaque d’immatriculation de leurs victimes pour les piéger. On vous dit tout !
Les escrocs ne cessent de redoubler d’inventivité pour appâter ces victimes ces derniers temps ! Cette fois, ils se servent de la plaque d’immatriculation de leur véhicule pour opérer une arnaque bien ficelée. On vous explique leur mode opératoire dans les prochaines lignes !
Escroquerie à la plaque d’immatriculation : voici comment les escrocs opèrent
Les arnaqueurs prennent contact avec leurs cibles via un appel téléphonique privé. Certains n’hésitent pourtant pas à afficher leur vrai numéro. La personne au bout du fil vous explique que votre voiture a été victime d’une accident et que vous avez des obligations à remplir. Tout est bien pensé pour vous convaincre que vous êtes fautif dans l’accrochage. Les escrocs précisent même la date et le lieu de l’incident en reprenant votre plaque d’immatriculation dans son discours.
Une fois que le destinataire est convaincu des faits, il est prié de régler une indemnité pour un règlement à l’amiable. Pour éviter des problèmes avec la police, la personne soi-disant « fautive » n’a pas le choix car elle aurait pris la fuite à l’issue de l’accident. Les dédommagements réclamés s’élèvent à une centaine d’euros en fonction des dommages et le paiement se fait en ligne.
Ne tombez surtout pas dans leur piège !
Cette forme d’escroquerie a déjà fait plusieurs victimes au Royaume-Uni et se développement progressivement aujourd’hui en France. Avant de piéger leurs cibles, les escrocs prennent le temps de collecter toutes les informations nécessaires sur ces derniers en scrutant leurs déplacements quotidiens, leurs noms ou encore leurs contacts. Une fois ces renseignements réunis, l’arnaqueur fait croire au téléphone qu’il a disposé de ces informations par le biais du centre d’immatriculation.
Notons que cette entité n’a aucunement le droit de dévoiler ce type d’informations personnelles à des particuliers. Ces données ne doivent être exploitées que dans le cadre d’une enquête ou une demande de la justice. Si vous vous retrouvez dans ce genre de situation, surtout ne vous laissez pas prendre !