Arnaque : méfiez-vous de cette escroquerie aux virements qui fait des ravages en été !

En cette période de vacances estivales, les arnaqueurs ne cessent de redoubler d’inventivité pour appâter leurs victimes. Parmi les escroqueries les plus courantes figurent celles aux virements.

Depuis le début des vacances d’été, le ministère de l’Intérieur encaisse les plaintes pour escroqueries au virement. Ces modes opératoires affectent différentes dépenses liées aux vacances. Le point à travers cet article !

Vacances d’été : gardez l’œil ouvert !

Avis à tous ceux qui sont persuadés d’avoir trouvé la maison de vacances idéale cet été ! Les autorités appellent à la plus grande vigilance des vacanciers en raison d’un fléau qui ne cesse de faire des ravages : l’arnaque au virement. Depuis le début de l’été, le gouvernement enchaîne les plaintes liées au piratage de compte bancaire, comme le soulignent nos confrères de RTL France.

Le mode opératoire des arnaqueurs est tout simple. Ils interceptent les codes RIB et IBAN des propriétaires de maison de location lorsqu’ils transmettent leurs coordonnées bancaires par courriel. Le temps de réaliser le piège, les malfrats se sont déjà emparés de l’argent présent dans le compte bancaire de leurs victimes. Le problème c’est qu’aucun remboursement n’est plus possible une fois le piège refermé.

Les arnaques aux faux RIB font des ravages !

Rappelons que les escroqueries au faux RIB ne cessent de se multiplier ces derniers temps. Plus de 300 plaintes ont déjà été enregistrées depuis le mois d’avril avec des dommages avoisinant les milliers d’euros pour les victimes. Cette supercherie cible également les versements réalisés chez le notaire et les factures d’artisans à payer. Le piratage survient lorsque les identifiants sont échangés par courriel.

Si vous faites partie des personnes tombées dans le piège, il est nécessaire de déposer une plainte au commissariat de police. La majorité des arnaqueurs se servent d’un nom d’emprunt. Pour réclamer le remboursement, une procédure civile peut être enclenchée à condition de pouvoir reprocher une négligence à un institut bancaire ou au prestataire de réservation.