De nouvelles révélations viennent de tomber cette semaine au sujet de Benjamin Castaldi. Retour sur cette somme folle que le chroniqueur a dû dépenser à cause de Charles Aznavour.
Mardi dernier, Benjamin Castaldi s’est livré à cœur ouvert au sujet d’une anecdote étonnante devant les caméras de C8. Le chroniqueur de « Touche pas à mon poste » est revenu sur un dîner très onéreux qu’il a pris aux côtés de Charles Aznavour. Le point à travers cet article !
« Ils ont commandé des vins très onéreux… »
Le 7 juin dernier, l’ambiance était particulièrement mouvementée sur le plateau de Cyril Hanouna et son équipe. L’animateur de C8 est revenu sur le sujet lié à la victoire de Johnny Depp dans le cadre de l’affaire qui l’oppose à son ex-compagne, Amber Heard. Le comédien se serait retrouvé dans l’obligation de débourser une somme astronomique dans le but de fêter sa victoire. La star de « Pirate des Caraïbes » aurait payé 60 000 dollars pour régler son repas au restaurant.
À la suite de ces propos, Benjamin Castaldi est revenu sur une expérience similaire qu’il a vécue par le passé. « J’ai eu une note salée un jour à Las Vegas, sur le tournage de la Spéciale de Céline Dion. J’ai convié toute l’équipe au resto et parmi eux figuraient Line Renaud et Charles Aznavour. Ils ont commandé des vins très onéreux… ça m’a fait mal au c** », explique le chroniqueur.
Une bouteille à 18 000 €
Benjamin Castaldi enchaîne : « Ils ont commandé du Cheval Blanc à 18 000 balles la bouteille. Au final, j’ai dû régler une addition de 36 000 $ ou 40 000 $. Ce vin coûtait les yeux de la tête… à l’époque, je disposais d’une carte black ». À cette époque, le père de famille se faisait plaisir sans compter que ce soit pour la nourriture ou pour les vêtements.
À ce propos, l’ancien animateur de Secret Story souligne : « Il y a longtemps, j’avais une veste en cuir qui m’a coûté mes premières embrouilles avec Baba. Il m’a fait des reproches à cause des nombreuses photos que je faisais (…) ». Le blouson en question valait 15 000 €. « Il était magnifique, je l’avais acheté à Monaco », a conclu le mari d’Aurore Aleman.