A l’occasion du Black Friday 2022, il faudra faire attention aux objets achetés en ligne ! En effet, si vous optez pour des produits pirates, vous risquez de payer une amende conséquente.
Le Black Friday est un rendez-vous très attendu par les férues de bons plans en cette période de l’année précédant les fêtes de Noël et de Nouvel An. Une période également propice à l’essor de la vente de produits contrefaits.
Black Friday 2022 : 50% des Français y prennent part
Cette année, le Black Friday aura lieu ce 25 novembre. Il s’agit d’un rendez-vous incontournable pour les adeptes de bonnes affaires mais aussi pour certains escrocs qui trouvent leur bonheur sur Internet. Dans l’Hexagone, 70% des achats de cette période se font en ligne. Ce qui ouvre la possibilité à des escroqueries de tout genre, notamment sur des articles contrefaits.
Il faut dire que le Black Friday arrive à point nommé en cette période de crise et surtout avec l’approche des fêtes de fin d’année. En effet, les Français n’ont plus les moyens de dépenser de l’argent pour des articles de qualité. Les commerçants profitent alors de cette baisse du pouvoir d’achat pour proposer des marchandises parfois piratés.
Méfiez-vous des contrefaçons !
Dans un communiqué officiel lancé par Unifab, on peut lire : « Propositions alléchantes et remises hors du commun représentent une aubaine pour des commerçants peu scrupuleux qui abusent des acheteurs en leur proposant des contrefaçons ». A titre de rappel, l’organisation se spécialise dans la lutte contre ce type de produits. Elle prévient notamment le public sur les dangers pour la santé, l’écologie et l’avenir économique du pays.
Comme l’explique l’entité : « Leur production est à l’origine de déversements de substances dangereuses dans la nature ». D’où l’importance de vérifier la fiabilité d’un site de vente en ligne avant de procéder à un quelconque achat. Pensez également à faire des comparaisons de prix pour éviter les déceptions liées aux mauvais achats. Notons que l’achats de produits contrefaits est illégal. Les sanctions pénales peuvent aller à une amende de 300 000 € à une peine d’emprisonnement de trois ans.