Brigitte Macron s’écroule à l’annonce du verdict de l’élection : malaise en coulisses !

© Marianne

De nouvelles révélations viennent de tomber au sujet de Brigitte Macron qui se serait écroulée en coulisses à l’annonce du verdict de l’élection. Un grave malaise en cause…

Après qu’Emmanuel Macron ait été sacré nouveau Président de la République, sa femme Brigitte Macron l’aurait accompagné au Champ de mars. En coulisses, la mère de famille aurait subi un sérieux malaise. Le point à travers cet article !

Brigitte Macron victime d’un malaise le soir de la victoire

Dans son numéro de cette semaine, le magazine France Dimanche revient sur ce malaise dont la Première dame a été victime lors de la soirée électorale. Dans les colonnes de l’hebdomadaire, on peut lire : « Pâle, le visage fatigué et fermé, Brigitte Macron aurait vécu un cauchemar en coulisses le soir où son mari a remporté la victoire contre Marine Le Pen ».

La femme du chef d’État était effectivement tendue durant cette soirée, aux côtés de son chéri. Elle aurait failli tomber en rejoignant ce dernier. Heureusement, la jolie blonde de 69 ans a réussi à se rattraper ! « Je suis si heureuse pour lui », a-t-elle réagi à la suite de la victoire de son homme, avant d’ajouter : « Il a beaucoup de beaux projets pour la France. Je sais qu’il va tout faire pour les concrétiser ».

Précisions sur le malaise de la Première dame

Plus tard, lors de son passage devant les caméras de TF1, Brigitte Macron a confié : « Je ferais tout mon possible pour aider les Français et les Françaises dans mon créneau ». Le malaise dont il est question ici concerne les émeutes anti-Macron qui ont eu lieu dans plusieurs villes de l’Hexagone.

« À Lyon comme à Rennes, des militants ont lancé des fumigènes et brulé des poubelles. Les autorités ont dû intervenir d’urgence. Dans la capitale, une horrible tragédie s’est déroulée en pleine nuit. Des forces de l’ordre ont tiré sur une voiture roulant à contresens sur le Pont-neuf. Bilan : deux morts et un blessé dans un état critique », rapporte la publication. Selon l’hebdomadaire, cette situation n’a jamais été vue lors des précédentes élections présidentielles.