De nos jours, il est possible de détecter le cancer du foie avant qu’il n’atteigne un stade avancé. Gros plan sur ces nouveaux facteurs qui devraient vous mettre en alerte !
La cirrhose ou l’hépatite virale ont toujours été considérées comme les principaux facteurs occasionnant l’apparition du cancer du foie. Une récente étude indique cependant que de nouveaux facteurs de risques doivent susciter la méfiance auprès du public. De quoi s’agit-il ? La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !
Se faire vacciner des hépatites B et C pour éviter le cancer du foie
Les études en question ont été menées par des scientifiques issus de l’Université de San Diégo, aux USA. Les experts se sont penchés sur les rapports entre la vaccination contre les hépatites et le cancer du foie. En effet, certains patients souffrant de l’hépatite B ou C présentent plus de risques de contracter cette maladie. Heureusement, les efforts liés à la vaccination ont permis de limiter les dégâts.
De nouveaux facteurs de risque découverts pas les scientifiques
Selon ces spécialistes, d’autres facteurs plus modernes occasionneraient l’apparition d’une tumeur au niveau du foie. Parmi eux, figure la consommation d’alcool et la stéatohépatite non alcoolique (NASH). Avis donc aux principaux intéressés ! De même, certaines maladies à l’instar du diabète et l’hypertension artérielle ne doivent pas être négligées.
Les auteurs de l’enquête expliquent : « La maladie du foie gras est devenue la principale cause de la mort des patients ayant souffert de cancer du foie. Le nombre de cas ne cesse d’augmenter partout dans le monde, notamment sur le continent américain où le nombre de personnes obèses atteint des records ».
Dans l’Hexagone, l’Inserm estime que 17 % des adultes souffrent d’obésité contre 13 % dans le reste du monde. Par ailleurs, les études révèlent que les Français sont de moins en moins à consommer de l’alcool même si le pays détient la place numéro un dans le classement des plus gros consommateurs au monde. En 2017, le repère de consommation a été dépassé de l’ordre de 23,6 % (Source : Santé Publique France).