Bonne nouvelle pour tous ceux et celles qui souhaitent réaliser des économies sur le carburant en ces temps de crise. On vous dévoile aujourd’hui une astuce infaillible réalisable grâce à Google Maps.
Voilà maintenant plusieurs jours que Google Maps propose à ses utilisateurs une fonctionnalité inédite qui permet aux automobilistes de trouver le chemin de substitution « le plus rapide ». Cette application est parfaite pour consommer moins d’essence ou de gasoil sur la route.
Gain de carburant assuré grâce à Google Maps !
Ces dernières semaines, on assiste à une légère baisse du prix du carburant en France. Rappelons que l’État a mis en place une remise de 30 centimes sur le litre pour permettre aux automobilistes de mieux faire face à l’inflation. À cela s’ajoute la réduction de 20 centimes proposée par Total Énergies. Pour aider les consommateurs à réaliser davantage d’économies, le géant américain Google a mis au point un dispositif révolutionnaire.
Si auparavant, cette fonctionnalité n’était applicable qu’aux États-Unis et au Canada, aujourd’hui elle profite aux Français. L’objectif : proposer aux conducteurs l’itinéraire le plus rapide possible pour limiter le carburant et la pollution de l’air. Cette fonctionnalité offre aux utilisateurs de choisir le trajet le plus rapide et donc le plus économe !
Diminution conséquente du taux d’émissions de gaz carbonique
Pour proposer le meilleur itinéraire aux utilisateurs, Google Maps se base sur les chiffres indiqués par ses cartes (nature de la route, vitesse maximale autorisée, horaire de pointe…). Elle se sert également des renseignements de l’Agence européenne responsable de l’environnement. « En mélangeant toutes ses données, nous avons mis au point des modèles sophistiqués d’apprentissage automatique adaptés à chaque type de moteur », souligne le géant américain.
Toujours selon Google, cette fonctionnalité inédite permettrait de réduire le taux de CO2 de 500 000 tonnes. C’est en tout cas le résultat des analyses qui ont été menées lors des expériences réalisées en Amérique. Soit l’équivalent de 100 000 véhicules à moteur thermiques bannis de la circulation.