Caroline de Monaco retrouve la joie de vivre au Salon-de-Provence à la suite d’une séparation brutale

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Alors qu’elle a récemment vécu une brutale séparation, Caroline de Monaco semble avoir retrouvé la joie de vivre au Salon-de-Provence. Le point à travers cet article !

A la suite d’une séparation déchirante, Caroline de Monaco a fait part d’une nouvelle réjouissante cette semaine. L’aînée des Grimaldi a pu retrouver son fidèle compagnon. De qui s’agit-il ? La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !

Caroline de Monaco ravie de retrouver son chien disparu

Caroline de Monaco s’est emparée de son compte Instagram cette semaine pour faire part d’une annonce réjouissante. La sœur aînée du Prince Albert II a récupéré son chien après que celui-ci a disparu. C’est une entreprise chargée de la protection des animaux dans la région de Salon-de-Provence qui a recueilli le pauvre animal.

Sur un cliché posté par l’association, la mère de Charlotte Casiraghi affiche un sourire radieux, heureuse et soulagée d’avoir enfin retrouvé son fidèles compagnon. Par ailleurs, son époux a été ciblé par une plainte liée à un honoraire impayé. Dans le dossier d’accusation, il exige la somme de 74 000 €, comme le précisent nos confrères allemands de Krone Zeitung dans leur édition datée du 26 avril dernier.

Une affaire réglée à l’amiable

Finalement, l’affaire se termine sur de bons termes car les deux parties ont fini par trouver une entente. Le mari de la princesse Caroline, qui vit loin de cette-dernière depuis une dizaine d’années, a accepté de débourser la somme de 50 000 €. A ce propos, la publication rapporte : « Les créances sont à présent réglées et les différends sont résolus ».

Le père d’Alexandra de Hanovre qui a développé une belle complicité avec une peintre espagnole tout récemment n’a fait aucun commentaire au sujet de cette décision de justice. En attendant, sa femme poursuit ses obligations au sein de la Principauté où elle serait pointée du doigt par sa belle-sœur en raison de son implication « abusive » dans l’éducation des jumeaux.