L’affaire Cédric Jubillar prend une nouvelle tournure ! Alors que le cellulaire de Delphine a récemment été remis en marche, le jeune homme pourrait bientôt être innocenté…
Voilà maintenant plus d’un an que Delphine Jubillar a disparu des radars. Une enquête a été ouverte pour tenter de la retrouver. Pour mettre toutes les chances de leurs côtés, les enquêteurs misent sur les téléphones portables du couple. Celui qui appartient au suspect numéro un, Cédric Jubillar, a déjà été scruté.
Coup de théâtre dans l’affaire liée à la disparition de Delphine
À présent, les enquêteurs procèdent à une examination complète du téléphone portable de la victime. À la suite de ces analyses, ils ont mis la main sur des découvertes chocs. Ces nouvelles preuves ne devraient pas tarder à innocenter Cédric, le compagnon de la victime alors qu’il était jusque-là le seul suspect.
Et si la victime n’était pas morte ? C’est la dernière théorie soulevée par les policiers dans le cadre de l’enquête. Disparue en 2020, il y a peu de chance de retrouver Delphine encore en vie. Tout le monde est convaincu que l’infirmière est morte et qu’elle s’est fait tuer. Un assassinat dont son époux est le suspect idéal.
Mais selon les expertises réalisées sur le téléphone de Delphine, la jeune femme se serait activée à maintes reprises alors qu’elle est introuvable. Son portable aurait été fonctionnel le soir de la tragédie. À ce propos, France Info souligne : « Des expertises techniques ont permis de découvrir à quel moment le téléphone de Delphine s’est rallumé à la suite de sa disparition ». Le cellulaire aurait été actif à moins de 3 km de la maison du couple avant d’être éteint entre 0 h 57 et 6 h 52.
Cédric innocenté ?
Même si le téléphone a été déverrouillé vers 6 h 52, cela ne signifie pas que la victime était toujours en vie à ce moment. Une chose est sûre : quelqu’un a déverrouillé son téléphone. Mais qui ? Son compagnon ? La victime elle-même ? Pour répondre à ses questions, les policiers se sont tournés vers les constructeurs du téléphone afin de soutirer un maximum de renseignements.
Selon Huawei, le téléphone de la victime avait bel et bien été déverrouillé manuellement à 6 h 52 du matin. Comme quoi, la théorie du déverrouillage à distance n’est pas fondée. Un fait inattendu qui pourrait bien innocenter le compagnon de Delphine, Cédric Jubillar. Selon son avocat : « C’est une preuve qui démontre que mon client n’est pas en possession du téléphone et qu’il peut être disculpé ».