Ces locataires ont rapidement créé le buzz sur Instagram. Derrière les photos de leurs vacances de rêve publiées en ligne, ils cachent bien leur jeu puisqu’ils n’ont pas réglé leur loyer depuis 6 ans !
Cécilia fait face à une situation compliquée depuis 6 ans à Boulogne-Billancourt. Les locataires de la maison dont elle est la propriétaire n’ont toujours pas réglé leur loyer. Pourtant, ces derniers s’affichent sur les réseaux sociaux en multipliant les voyages dans les quatre coins du globe. Pour la jeune femme, l’indignation est totale !
« Je me sens stupide aujourd’hui »
En 2016, Cécilia décidé de mettre son appartement en location et trouve rapidement des acheteurs. « Je leur ai fait entièrement confiance. Les locataires étaient un couple de journaliste et d’entrepreneur…Aujourd’hui, je me sens con*e de les avoir cédés ma confiance aussi vite », explique-t-elle. En effet, la jeune femme est au pied du mur six ans après avec une dette de 45 000 € sur le cou.
« Ils ont payé le loyer au début. Ensuite, le paiement s’est fait de plus en plus rare et plus tard, plus rien », poursuit la propriétaire, médusée. Cécilia a dû prendre des décisions drastiques quitte à se rendre au Palais-Bourbon pour partager n cri de cœur. En réalité, ce qui l’irrite le plus, c’est que les locataires sont bel et bien en mesure de régler le loyer.
La situation est désespérée pour Cécilia
« J’aurai pu tolérer s’ils étaient réellement dans le besoin. Là, j’ai l’impression qu’on se fout de ma gue*le lorsque je vois leur quotidien. La mère de l’un d’entre eux dispose même d’une propriété de luxe dans les Vosges », déplore Cécilia. Sur la Toile, on peut voir qu’ils mènent une vie de rêve : vacances dans des établissements quatre étoiles, shopping dans les plus grands mall…
Comme elle le souligne : « Ce sont des squatteurs professionnels. Ils manipulent tout le monde dans le but de satisfaire à leurs propres intérêts ». Malheureusement pour Cécilia, la préfecture n’a jamais donné de suite favorable à sa plainte et l’exclusion des squatteurs a été interrompu à maintes reprises, sous prétexte qu’ils vivent avec le RSA et qu’ils ont le profil d’employé en situation de handicap.