De nouvelles révélations viennent de tomber cette semaine au sujet de Charlène de Monaco et du Prince Albert II. Retour sur ce pacte secret de l’ordre de 12 millions d’euros qu’ils auraient conclu.
L’année 2021 a été particulièrement éprouvante pour Charlène de Monaco qui a dû s’exiler pendant plusieurs mois en Afrique du Sud à cause de son infection ORL. A son retour au Palais, les rumeurs se sont répandues au sujet de la princesse. Parmi elles figure un pacte secret conclu avec son mari, le Prince Albert II.
Charlène de Monaco : de nombreux coups durs en 2021
En raison de sa maladie, Charlène de Monaco s’est retrouvée dans l’obligation de rester dans son pays natal en attendant d’être parfaitement remise. Il a fallu patienter jusqu’en novembre 2021 avant qu’elle ne regagne enfin le Rocher. Un communiqué officiel avait rapporté : « La Première dame monégasque a été évacuée d’urgence à l’hôpital à la suite de complications liées à son infection ORL diagnostiquée au mois de mai dernier ».
Le 8 novembre dernier, la mère de Jacques et Gabriella obtient enfin le feu vert des médecins pour rejoindre sa famille à Monaco. Le retour aura été de courte durée puisqu’elle s’est retrouvée plus tard clouer dans une clinique privée en Suisse. Dans les colonnes de People, le souverain explique : « J’ignore quand est-ce qu’elle sera sortie de la clinique. Nous attendons l’autorisation des médecins ».
Un pseudo-accord de 12 millions d’euros…
Aujourd’hui, Charlène de Monaco semble parfaitement sur pied. A la suite de son retour officiel au Rocher, les bruits ont cependant couru sur un pacte secret conclu avec son mari. Dans le livre baptisé « Altesse en détresse » écrit par Thomas Pernette et Virginie Megglé, on apprend davantage de précisions sur ce supposé « pseudo-accord ».
Ce pacte serait caractérisé par l’approbation du Prince Albert II de laisser sa femme vivre en Suisse sous certaines conditions. La princesse devra être aux côtés de son époux durant les grands « événements princiers ». Un accord qui s’élèverait à 12 millions d’euros par an, à la charge du Souverain monégasque.