Chèque transport : les utilisateurs impactés par l’inflation devraient touchés une aide financière !

Alors que l’inflation continue à faire des ravages en France, un nouveau coup de pouce financier est prévu pour l’année prochaine. On vous dit tout !

Ce nouveau chèque transport devrait servir à aider les Français qui se servent des transports en commun pour se déplacer au quotidien.

Un chèque transport pour aider les foyers modestes

Alors que la SNCF prévoit une hausse des tickets de train pour 2023, l’État projette de hausser le prix pour certains usagers. Selon Le Parisien, un chèque transport de 50 € pourrait voir le jour dans le cadre du nouveau projet de loi récemment voté par le parlement. Cette prime a pour but de protéger les consommateurs face à la flambée des prix qui touche le secteur du transport. Elle concerne les utilisateurs de transport en commun, mais aussi une partie des voyageurs issus de la classe moyenne.

Pour le moment, nous ignorons le nombre exact de bénéficiaires de cette aide financière. Dans les colonnes de nos confrères, on peut lire : « Tout dépend si on se limite à la classe inférieure ou supérieure. L’ensemble des arbitrages ne sont pas encore validés », précise une source auprès du journal.

Un dispositif réservé aux trains du quotidien

Le chèque transport ne concerne pas les utilisateurs des trains à grande vitesse. En effet, il est réservé uniquement aux utilisateurs des transports du quotidien (TER, Transilien…). Le chèque sera immédiatement remis par le gouvernement et non par les régions qui financent les tickets de TER à 75 % et qui se chargent de la gestion. Il faut dire que cette aide arrive à point nommé face au contexte de forte inflation qui fragilise tout particulièrement le secteur du transport.

Dernièrement, celui qui est à la tête du SNCF, Jean-Pierre Farandou a fait part d’une éventuelle augmentation des tarifs des billets de train pour l’année à venir sachant que la facture énergétique chez SNCF Voyageurs devrait faire l’objet d’une hausse de 1,6 à 1,7 milliard d’euros. Notons que la moitié de cet argent s’applique aux TER et aux Transiliens, les 50 % restants concerneront les TGV.