Les temps sont durs pour Christian Quesada qui doit revenir derrière les barreaux. La justice vient de rendre son verdict. On vous dit tout !
Jeudi dernier, le juge d’application des peines de Perpignan a livré sa sentence au sujet de l’affaire Christian Quesada. Emprisonné de nouveau après avoir enfreint les conditions de sa liberté conditionnelle, l’ancien protégé de Jean-Luc Reichmann est obligé de rester en taule. Le point à travers cet article !
Une sentence irrévocable !
Le verdict est tombé pour l’ancien champion des 12 Coups de midi. Après avoir profité d’une liberté conditionnelle un an après son premier emprisonnement, le voilà qui doit remettre les pieds en prison. A titre de rappel, Christian Quesada est condamné pour détention d’images pédopornographiques et corruption de mineurs. Son arrestation a eu lieu le 27 septembre dernier à Perpignan. En cause, le non-respect de ses conditions de liberté provisoire.
Cette semaine, le coupable s’est présenté devant la Cour. A l’issue du procès, le juge a rendu son verdict. Selon nos confrères de L’indépendant, le juge a décidé de rallonger son incarcération d’un mois pour « manquements » aux règles relatives à sa libération conditionnelle.
Nouveau coup dur pour Christian Quesada
C8 proposera bientôt un reportage inédit mettant en lumière des témoignages exclusifs et autres preuves liées à l’affaire Christian Quesada. Ce programme sera également l’occasion pour les téléspectateurs d’entendre le principal accusé prendre la parole concernant cette affaire. A ce propos, la chaîne précise : « Il nous a contacté en personne pour un entretien de plusieurs heures ».
Après avoir été relâché de la prison de Bourg-en-Bresse, le principal intéressé s’était évadé de la région pour s’installer discrètement dans les Pyrénées-Orientales. Sa participation au jeu de midi présenté par Jean-Luc Reichmann lui avait permis de gagner la somme colossale de 800 000 € avec, en prime, plusieurs cadeaux de valeur. Cette affaire aura malheureusement entaché sa notoriété aux yeux du public.
