Bonne nouvelle pour ceux et celles qui souhaitent bénéficier d’une amélioration de leur pouvoir d’achat sans avoir à réclamer une augmentation de salaire. Ces astuces vont vous aider !
Compte tenu de la forte inflation et de la baisse du pouvoir d’achat, de nombreux employés demandent aujourd’hui une augmentation de salaire pour pouvoir survivre à la crise. Ces requêtes sont pourtant souvent rejetées par les employeurs. Ces 5 astuces vont néanmoins vous aider à remédier au problème.
Misez sur l’épargne salariale
Suivant les contrats d’intéressement en vigueur au sein d’une société, il est possible de mettre de l’argent de côté via le PEE (Plan d’Épargne Entreprise) ou le Percol (Plan d’épargne retraite collectif). Ces épargnes seront plus ou moins abondées par les employeurs. Si vous souhaitez bénéficier d’une exonération d’impôts, il faudra conserver ces épargnes sur 5 ans pour le PEE et jusqu’à la retraite pour l’autre dispositif.
L’avantage des chèques vacances
Chaque année, les employeurs et le CSE (Comité Social et Économique) mènent une campagne « chèque-vacances » dans toute la France. Il s’agit de coup de pouce financier subventionné par les dirigeants d’entreprises dont la valeur varie suivant le niveau de revenus. Une précieuse aide qui va réduire les dépenses liées aux frais de transport, les sorties au resto et autres activités personnelles. Rappelons que les travailleurs indépendants peuvent également profiter des chèques-vacances.
Ne négligez pas vos tickets resto !
Si vous faites partie des personnes éligibles aux tickets resto dans votre société, n’hésitez surtout pas à les récupérer ! Et ce, même si vous êtes en télétravail. Le reste de l’argent financé par l’organisation qui vous emploie représente une somme non négligeable surtout en ces temps de crise. De plus, cette somme n’est pas imposable. Ce serait dommage de ne pas en profiter !
Les autres techniques qui marchent…
Certes, votre patron ne couvrira pas les dépenses liées à vos envies personnelles à l’instar du shopping pour les soldes d’été par exemple. Néanmoins, de plus en plus de sociétés financent les berceaux en crèches pour les nouveau-nés de leurs collègues. De même, vous pouvez profiter des chèques CESU co-financés par l’organisation pour la garde des enfants et l’emploi de nounous à domicile. Cette somme peut aller jusqu’à 1830 euros par an et par employé. De plus, elle est exonérée des impôts.