C’est un coup dur pour les victimes. Deux ressortissants bulgares sont suspectés d’être derrière une fraude bancaire. C’est à Creitel, à la caisse d’un lavomatic dans la région parisienne que l’injustice a eu lieu. Un malfrat a décidé d’escroquer des gens par rapport à leur carte bleue. Ils ont suivi un plan que la brigade des fraudes aux moyens de paiement ont pu détecter. Des malfaiteurs tentent de se servir de notre compte en banque. La brigade s’en charge.
« Escroquerie à la carte bleue d’un nouveau genre »
C’est dans le parking de l’hôpital Henri-Mondor à Creitel, dans Val-de-Marne que le GIE, les gérants du carte bleue ont signalés des anomalies par rapport à des distributeurs. Ce type de fraude est détecté pour la première fois dans la région parisienne. D’après une source policière, on a déjà détecté ce genre de fraude en Angleterre également. Le territoire n’est donc pas en sécurité face à ce nouveau dilemme. La brigade responsable des fraudes aux moyens de paiement se démêle pour dénouer ce problème. Voici comment le problème se présente : apparemment, quand vous insérez votre carte bleue dans le terminal et que vous tapez votre code, les données sont dupliquées dans un autre distributeur à seulement quelques kilomètres de là où vous êtes. C’est assez incroyable ! Ce fait s’est produit au début du mois d’avril. La préfecture de police de Paris s’est chargée immédiatement de l’affaire. Malheureusement, plus de 300 personnes ont été victime de cette arnaque.
Deux mafias retenues par la police !
Le vendredi à Paris, deux hommes ont été retenus à cause de ce délit, une détention provisoire. Un grave délit dont ils n’ont pas pu passer inaperçu. Âgé de 41 et 43 ans, deux ressortissants bulgares a été mis en examen. En effet, c’est en bande organisée qu’ils ont concoctée leur plan maléfique. Ces deux personnes sont accusés pour « escroquerie en bande organisée et extraction frauduleuse de données ». Apparemment, ils ont mis en pratique leur plan en installant des boîtiers pirates dans onze parkings et station-service. Et c’est entre le mois de février et avril qu’ils ont été suspectés. Un préjudice de 39.000 euros est estimé.