Dispositif Linky : nouvelle désastreuse pour ces Français contraints de payer une pénalité l’an prochain !

Les abonnés d’Enedis qui renoncent à utiliser le compteur Linky pourraient se retrouver dans l’obligation de payer une pénalité de 50 € à partir de l’an prochain. On vous dit tout !

Aux dernières nouvelles, ¾ des clients de la société Enedis utilisent le célèbre compteur Linky. Le reste demeure réticent à cause de la mauvaise réputation de ce dispositif. Ces derniers devront faire face à une augmentation de leur facture dans l’année. Et pour cause…

Une pénalité à régler tous les deux mois 

A partir de 2023, les personnes réticentes à l’utilisation du compteur Linky devront composer avec une nouvelle disposition. En effet, elles devront débourser la somme de 8,30 € tous les deux mois. Aussi, pour éviter de se retrouver avec une note salée à la fin du mois, il va falloir penser à transmettre l’index de consommation tous les ans ! Cette pénalité est associée aux frais de déplacement des agents d’Enedis qui se rendent aux domiciles des clients pour réaliser le revenu manuel.

Pour ceux qui envoient le relevé dans les délais impartis, il n’y aura aucun prélèvement supplémentaire sur la facture finale. D’ici 2025, cette pénalisation devrait faire l’objet d’une hausse. L’objectif d’Enedis étant que 100% des clients se servent du dispositif vert. Jusqu’en 2024, il sera possible de transmettre cet index pour en pas avoir à payer les 50 € supplémentaires.

Du changement à partir de 2025

A compter de 2025, les réfractaires devront débourser une somme plus conséquente même s’ils ont transmis l’index de consommation à temps. A moins que la disposition n’ait pas été réalisée pour des raisons techniques. Si vous avez changé d’avis et que vous souhaitez vous équipez du compteur Linky, il suffit de joindre Enedis par téléphone pour en faire la demande.

La réticence de ces clients est en partie due à la somme colossale déboursée par les utilisateurs du compteur Linky. Très vite, les rumeurs se sont répandues : espionnage, risque d’incendie, danger pour la santé…Le dispositif a même eu droit au surnom de Big Brother qui fait allusion à l’ouvrage dystopique écrit dans les années 80 par George Orwell. Reste à savoir si les 10% réfractaires finiront par changer d’avis. Affaire à suivre…