Dominique Tapie submergée par les dettes : comment la veuve de Bernard Tapie s’en sort-elle ?

Les temps sont durs pour Dominique Tapie qui doit régler les dettes colossales de son défunt mari. Celles-ci se chiffreraient à

642 millions d’euros. Le point à travers cet article !

Mercredi dernier, Dominique Tapie a donné de ses nouvelles à l’occasion d’un entretien pour Paris Match. La veuve de Bernard Tapie a profité de l’occasion pour évoquer les dettes qu’elle doit régler depuis le décès de son mari.

“Du jour au lendemain, je me suis retrouvée complètement à sec !”

A titre de rappel, Bernard Tapie nous a quittés en octobre 2021 des suites d’un cancer. Depuis, son épouse peine à remonter la pente surtout à cause des dettes colossales que lui a légué le défunt politicien. Dans les colonnes de Paris Match, elle raconte : “Il me disait de ne pas m’inquiéter, que tout ce que les juges voulaient, c’était sa peau…Une fois que c’est fait, ils ne seront plus à mes trousses”. Hélas pour la veuve, les choses ne se sont pas passé de cette manière.

Comme elle souligne : “Du jour au lendemain, je me suis retrouvée complètement à sec ! Je n’avais pas les moyens d’acheter la pierre tombale”. Une situation difficile à vivre pour la mère de Sophie et Laurent. Dans sa prise de parole, elle précise que les dettes en question s’élèveraient à 642 millions d’euros et le pire c’est qu’elle doit régler tout ça toute seule.

Dominique Tapie vit un quotidien infernal

La situation est telle que Dominique Tapie doit d’en remettre à ses proches pour pouvoir survivre au quotidien. Comme elle le souligne : “J’ignore ce que je deviendrais sans eux”. Par la suite, la veuve de Bernard Tapie avoue qu’elle doit se contenter de la moitié de sa retraite pour subsister. Et la mère de famille d’ajouter : “Mon fils Laurent m’accorde son soutien sur le plan financier. Je suis également aidée par des amis”.

Pour conclure, la mère de famille a abordé le nom de Jean-Louis Borloo qui lui a été d’une aide précieuse. Comme elle le confie dans les colonnes de nos confrères : “C’est lui qui m’a aidé à trouver un toit où dormir depuis la mort de mon mari. Dans ces dures épreuves, j’ai eu énormément de chance”.