On dit souvent que les apparences sont trompeuses. Preuve en est ce qui s’est passé dans ce restaurant où une serveuse a donné à manger à un « sans abri » sans se douter qu’il s’agissait en fait d’un membre de l’établissement.
Avec l’inflation et la flambée des prix de PPN, on retrouve de plus en plus de sans-abris dans les rues. Dans la majorité du temps, absorbés par nos préoccupations, on les ignore et on continue notre chemin. Mais qu’arrive-t-il lorsqu’un SDF se rend dans un resto et prend une table comme tous les autres clients ? Cette histoire va vous laisser sans voix !
Un client pas comme les autres…
Lorsque le sans-abri pénètre à l’intérieur de l’établissement, il est persuadé que son look n’a rien à voir avec celui des autres clients. Les regards sont bien évidemment braqués vers lui au restaurant. Il appelle le serveur, mais personne ne vient. À un moment donné, une autre serveuse répondant au prénom de Marina aperçoit l’homme et décide de se rendre à sa table.
La jeune femme prend sa commande sans se douter de ce qui va arriver par la suite. Plus tard, la jeune femme tombe sur son supérieur. Ce dernier lui fait la morale en lui expliquant qu’elle n’aurait pas dû servir le SDF, car ce dernier ne paye pas sa note. La somme en question sera alors déduite de son cachet. Mais à la grande surprise de Marina, le client en question a bien payé et il a même donné un pourboire à la serveuse.
Une leçon de vie
En vérité, le SDF n’était autre qu’un membre de la direction au sein du restaurant-café. Il souhaitait simplement vérifier comment les employés accueillent les clients et si ces derniers étaient servis comme ils le méritent. Le sans-abri en question était donc un complice. Le gérant a d’emblée été viré et il est sans doute en train de chercher un nouveau travail dans la restauration.
Marina, de son côté, a reçu une promotion à laquelle elle ne s’attendait pas. En effet, elle a été promue responsable au sein du restaurant. Une histoire qui nous rappelle les belles valeurs de la vie et l’importance de l’égalité. Comme quoi, l’habit ne fait pas le moine…