Électricité : voici les 10 villes, premières victimes des coupures de courant cet hiver

En raison de la flambée des prix de l’électricité et les aléas climatiques, une pénurie est à prévoir en France. Voici les 10 villes qui vont être les premières à subir les coupures de courant cet été !

Alors que l’hiver approche à grands pas, les foyers français vont devoir se préparer à une pénurie d’électricité. Qui seront les premières villes victimes de ces coupures ? Le point à travers cet article !

L’État révèle son plan de sobriété énergétique

Selon France Info, une trentaine de réacteurs nucléaires gérés par la société EDF ne sont plus opérationnels à l’heure actuelle. Alors que la demande est en hausse, souligne le réseau de transport électrique public RTE, il faudra s’attendre à limiter la tension électrique de 5 % sur la totalité du réseau. Selon un membre de ce réseau, cela ne pourra se faire que si la consommation « diminue de 15 % au cours des heures les plus tendues ».

De son côté, Élisabeth Borne prépare la population à affronter des « délestages tournants » pour l’hiver prochain. Anne Hidalgo a évoqué les différents dispositifs mis en place à Paris pour faire face à cette importante crise énergétique. « Aujourd’hui, la température moyenne des maisons de la capitale est de 19 °C. Ils seront chauffés à 18 °C en journée et à 12 °C la nuit pour les propriétés inoccupées », précise la Maire. D’autre part, la Tour Eiffel ne brillera plus à partir de 23 h 45 d’ici le 23 septembre 2022.

Les 10 villes qui risquent de subir de plein fouet le délestage cet hiver

Les risques de coupure d’électricité seront accrus cet hiver dans l’Hexagone. Pour l’heure, 10 départements sont concernés. Selon nos confrères de France Info, il s’agit des :

  • Alpes-de-Haute-Provence
  • Hautes-Alpes
  • Alpes-Maritimes
  • Bouches-du-Rhône
  • Du Var
  • Du Vaucluse
  • Côtes-d’Armor
  • Du Finistère
  • De l’Ille-et-Vilaine
  • Et du Morbihan

Les coupures interviendront « là où c’est le plus efficace pour la sauvegarde du système, de manière à affecter les utilisateurs les moins prioritaires », explique le ministre de la Transition énergétique, à l’occasion d’un entretien mené par nos confrères.