C’est l’histoire d’une mère de famille qui estime mener une vie difficile alors qu’elle empoche l’incroyable somme de 22 500 € chaque mois en allocations familiales. C’est ahurissant !
Alors qu’elle mène une vie dure au quotidien, cette mère de famille s’est récemment attiré la foudre des internautes sur les réseaux sociaux. Pourquoi autant d’insultes et de critiques haineux ? Le point à travers cet article !
Caroline McCraken au coeur de la polémique
Dans un reportage consacré à Caroline McCraken, cette dernière raconte son quotidien avec ses trois enfants. L’émission a cependant suscité le bad buzz sur les réseaux sociaux sachant que la mère de famille n’empochait aucun revenu mis à part les allocations sociales. En dépit d’un quotidien qu’elle estime compliqué, les téléspectateurs estiment que la principale concernée profitait de l’argent du contribuable.
Devant l’ampleur des critiques sur la Toile, Caroline a décidé de mettre les points sur les « i ». Dans le documentaire, elle avoue mener une vie « difficile » et qu’elle a vraiment besoin de ces aides de l’État pour survivre. Elle na cache pas non plus sa colère en raison du jugement et de la méchanceté gratuite de ses haters.
« Ils ont dit des choses odieuses à mon sujet… »
D’ailleurs, cette maman de trois enfants regrette d’avoir accepté de réaliser ce reportage. « Ils ont dit des choses odieuses à mon sujet. Cette émission m’a coûté plusieurs de mes amis et m’a exposé au ridicule », précise-t-elle à ce sujet. À l’issue du programme, nombre de ses proches lui avaient tourné le dos. Dans les colonnes de The Sun, elle déplore : « Si j’avais su qu’on me traiterait de la sorte, je n’aurai jamais participé à ce reportage ».
Mais ce n’est pas tout ! Ce programme a également entraîné des répercussions sur la situation financière de Caroline. Les allocations sociales perçues par la mère de famille étaient en baisse à cause de la polémique. Parmi les commentaires, on peut lire : « Va chercher du boulot », « Avec un mois de salaire, je ne gagne pas autant ». D’autres l’accusent d’être paresseuse.