C’est l’histoire d’une mère de famille vivant avec les allocations sociales qui a déboursé plus de 2 000 € en faisant ses courses chez Lidl. Plus tard, la mauvaise nouvelle est tombée…
Les enseignes de grande distribution apprécient les clients qui dépensent de l’argent sans compter auprès de leurs magasins. Parmi eux figure cette mère de famille assez spéciale venue faire ses courses chez Lidl. Retour sur cette histoire invraisemblable qui va vous choquer ! Le point à travers cet article !
Lidl : le géant du hard discount en France
Chaque semaine, Lidl propose des offres alléchantes les unes des autres à ses fidèles consommateurs. Et comme toujours, le succès est au rendez-vous. En cause, son excellent rapport qualité-prix sur des produits indispensables du quotidien destinés à faciliter la vie aux foyers français. Force est de constater qu’on trouve un peu de tout dans les rayons de ses magasins : alimentation, accessoires de cuisine, high-tech, jardinage, vêtements, produits cosmétiques… le tout à des prix défiant toute concurrence.
Bref, tous les ingrédients sont réunis pour mieux fidéliser la clientèle. Résultat, les stocks s’écoulent à vitesse grand V dès qu’une nouvelle promotion fait son entrée au sein de l’enseigne. Son positionnement « Lidl, le vrai prix des bonnes choses », résume toute cette réussite ! Mais cela n’empêche pas les escrocs de se rendre au sein des points de vente de la marque.
Une arnaque de grande envergure
La mère de famille dont nous allons vous raconter l’histoire a réussi à arnaquer plus de 2 000 € chez Lidl. Maman de trois enfants, elle affrontait une période particulièrement délicate. Devant les soucis financiers et l’incapacité de prendre correctement soin de ses enfants, elle a failli par plonger dans une phase dépressive.
Le plus étonnant c’est que la mère de famille a déboursé cette somme colossale auprès de la filiale allemande, et ce en l’espace de quelques semaines. En effet, entre le 18 et le 29 octobre, elle s’est servie de six chèques pour régler ses courses dans une boutique de l’enseigne située à Valenciennes.
Les jours suivants, les responsables du magasin réalisent que les chèques en question n’étaient pas valides. En effet, le compte bancaire du titulaire avait été clôturé pour cause de surendettement. Cette dernière projetait d’ouvrir un nouveau dossier au sein de la Banque de France. À l’issue de cette affaire, la mère de famille a écopé d’une peine d’emprisonnement de quatre mois avec sursis.