Alors que le patron de TF1 refuse catégoriquement de voir Éveline Dhéliat abandonner son poste de Miss météo, l’animatrice a décidé de réagir cash. On vous dit tout !
À l’occasion d’un entretien pour nos confrères de Télé 7 Jours, Évelyne Dhéliat s’est livrée sans tabou au sujet de sa carrière d’animatrice météo sur TF1. L’animatrice est notamment revenue sur sa réponse à Thierry Thuillier, le directeur du service info de la chaîne alors qu’il refusait de la voir partir.
« L’échange que j’ai avec les téléspectateurs est vrai et honnête… »
Voilà maintenant plusieurs décennies qu’Évelyne Dhéliat fait la pluie et le beau temps des fidèles téléspectateurs de La Une. Dans le cadre d’une interview pour Télé 7 Jours, la journaliste a abordé le sujet lié à sa carrière de présentatrice météo et ses liens avec le public de TF1 depuis plus d’un demi-siècle.
Dans les colonnes du magazine, la jolie blonde de 74 ans explique : « L’échange que j’ai avec les téléspectateurs est vrai et honnête. À mon avis, ils le ressentent également. Dans tous les cas, je l’espère ! Cela m’apporte un équilibre et c’est le moyen le plus efficace de rester fidèle à ses propres valeurs ».
L’ex-compagne de Philippe Maraninchi a également indiqué qu’elle ne projetait pas de partir à la retraite pour le moment. Comme elle le souligne : « Mon travail apporte un certain équilibre dans mon existence… tant que je serais fière de me réveiller chaque matin pour venir au bureau, je ne vois pas pourquoi je devrais faire autrement ».
La réponse sans filtre d’Évelyne Dheliat à son employeur
Dans les colonnes de Télé 7 Jours, on apprend que TF1 avait tout tenté pour conserver Évelyne Dhéliat à l’antenne. « Mon patron a fait savoir à travers un communiqué de presse que j’allais encore rester pour longtemps. Pourquoi devrais-je l’offenser ? », poursuit-elle dans sa prise de parole. Dans tous les cas, la sexagénaire peut être fière de son parcours réussi.
« J’aurais voulu devenir journaliste, mais en 68, les femmes qui travaillent dans ce secteur d’activité étaient cantonnées aux magazines, aux rubriques tricot ou à l’art culinaire. Parfois, je me dis que j’aurais peut-être été en mesure d’animer un bulletin d’informations, mais je suis probablement arrivée trop tôt. Ce n’est pas grave. C’est ce qui a bâti mon incroyable carrière », a-t-elle précisé.