Expansion de la prime carburant, promotions alimentaires à 50 %… Bruno Le Maire livre ses suggestions

Dans le cadre du projet de loi lié au pouvoir d’achat, Bruno Le Maire a fait quelques suggestions avant la présentation du nouveau dispositif prévu cette semaine.

Alors que l’inflation continue à battre son plein en France, Bruno Le Maire a fait part de ses suggestions en ce qui concerne la prime carburant. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !

Expansion de la prime carburant

Le ministre de l’Économie a diffusé un communiqué officiel le 4 juillet dernier dans lequel il annonce ses propositions sur l’indemnité carburant. « Une indemnisation plus importante pour tous ceux qui sont contraints de se déplacer en voiture pour aller au travail », a-t-il indiqué. Selon Bruno Le Maire, les employés et les alternants pourront bénéficier de cette prime.

Pour l’heure, le locataire de Bercy n’a pas apporté de précisions sur le plafond salarial. Dans sa prise de parole, il a indiqué que cette prime concernera désormais les automobilistes qui font plus de 12 000 km par an. Comme le souligne l’homme politique : « Même si les autres automobilistes ne parcourent pas 12 000 km par an, ils utilisent leurs véhicules pour aller travailler. Du coup, ils ont du mal à boucler les fins de mois ».

Ce que Bruno Le Maire propose

À l’heure actuelle, la situation alimentaire contraint Bruno le Maire à appliquer une réduction de 50 %. Il estime que c’est pour créer des prix cassés aux familles dans le besoin. Il se réserve également le droit aux offres promotionnelles du genre un produit acheté, un produit. Ce que Michel-Edouard Leclerc va sans doute apprécier.

Du reste, le ministre propose un plan d’accompagnement pour aider les sociétés en détresse à cause de la crise sanitaire. Ces dernières pourront ainsi bénéficier d’un remboursement de leurs impôts ou de leurs cotisations. À cela s’ajoute l’accès au PGE Résilience qui sera opérationnel jusqu’à la fin de cette année. Il permet aux organisations de réaliser un emprunt pouvant aller jusqu’à 15 % de leur chiffre d’affaires.