Alors qu’il se bat actuellement contre un cancer du poumon, Florent Pagny ne cesse de déferler la chronique. Récemment, les fans ont pu découvrir la propriété dans laquelle leur idole vit avec son épouse en Patagonie.
En dépit de sa richesse évaluée à plusieurs millions d’euros, Florent Pagny mène une vie des plus modestes. Le chanteur de 60 ans a pris la décision de quitter la capitale pour s’installer avec sa femme dans une jolie résidence en Patagonie.
Florent Pagny : un grand amoureux de la Patagonie !
Voilà maintenant une trentaine d’années que Florent Pagny sillonne la France et la Patagonie, son lieu de résidence principale. Sur place, l’illustre coach de The Voice habite dans une maison simple et modeste qui lui tient très à cœur. C’est d’ailleurs dans cette région de l’Amérique que l’artiste a décidé de fonder une famille avec sa belle Azucena Caamano. Ensemble, ils sont les heureux parents de Aël (23 ans) et Inca (26 ans).
Interrogé à ce propos par nos confrères de So Soir, le chanteur a affirmé : « J’adore cet endroit. Plus jeune, je voyageais énormément dans les îles. Mais il y a trente ans, je me suis installé en Patagonie. C’est le seul pays qui m’a véritablement convaincu pour mener une vie stable avec ma famille. L’air est sain et l’eau est pure. En plus, il y a peu de monde ».
L’artiste affectionne la nature
Dans le cadre de son intervention dans « Vivement dimanche », Azucena, la femme du chanteur avait confié : « J’ignore si c’est de moi dont il est tombé amoureux ou de la Patagonie », sur une note d’humour. Le père de famille ne fait pas partie des célébrités à la recherche du grand luxe. Comme il l’a révélé face à Nikos Aliagas : « Je préfère évoluer dans un contexte naturel ».
Et l’interprète de Savoir aimer d’ajouter : « C’est un autre voyage c’est sûr… j’ai appris de nouvelles choses là-bas… rouler des heures sur la route sans croiser la moindre voiture, c’est incroyable ! Les motivations ne sont pas les mêmes que lorsqu’on est à Paris ».
Quoi qu’il en soit, l’artiste n’oublie pas la France. Comme il le souligne : « C’est un endroit certes assez inhospitalier, mais j’aime bien. Après, il faut avouer que c’est compliqué au bout d’un moment de devoir passer son existence ici. Aujourd’hui, je ne peux plus vivre sans l’un ni l’autre », a-t-il conclu.