Florent Pagny submergé par les impôts : ces biens chers à son coeur qu’il a été contraint de vendre !

Pour régler ses nombreuses impôts, Florent Pagny s’est retrouvé dans l’obligation de se séparer de certains biens chers à son cœur. On vous dit tout !

Florent Pagny a toujours été un grand fan des voitures ! Malheureusement, l’ancien coach de The Voice s’est retrouvé dans l’obligation de vendre certaines de ses collections pour régler ses impôts. Retour sur les confidences exclusives du chanteur !

Florent Pagny : un chanteur qui cartonne !

Il y a quelques jours, les admirateurs de Florent Pagny ont eu le plaisir de suivre une émission spécialement dédiée à leur idole sur France 4. Il s’agit d’un reportage inédit qui met la lumière sur cette figure iconique de la chanson française. Aux yeux de ses nombreux fans, le chanteur de 60 ans se distingue par sa vulnérabilité et son originalité.

Dans les colonnes de Notre temps, l’artiste confie : « Mes titres me racontent. Je suis quelqu’un d’instinctif même s’il arrive que ma tête rattrape mon instinct. C’est lui qui ordonne mes pensées et le fonctionnement de mon cerveau. Lorsque je pense à mes origines et celui que je suis devenu, je me dis que mon intuition y est pour tout ! Je crois en ma bonne étoile ».

« J’ai dû tout vendre… »

Mise à part sa passion pour la musique, Florent Pagny est également fasciné par les belles voitures. D’antan, il était interviewé par les équipes de « Turbo » en Argentine, un pays qui lui tient très à cœur. Devant les caméras, on remarque que le chanteur ne peut rester indifférent devant les magnifiques bolides. D’ailleurs, il a déjà eu l’opportunité d’en posséder une belle collection.

Malheureusement, l’ancien-compagnon de Vanessa Paradis a dû les vendre : « J’avais une jolie collection mais j’ai dû tout vendre à cause des impôts », précise-t-il lors de ses échanges avec le présentateur Dominique Chapatte. Le principal intéressé s’est d’ailleurs inspiré de cette douloureuse épreuve pour composer sa chanson intitulée « Ma liberté de penser ». « C’est malheureux d’avoir comme plus grand morceau, un morceau qui raconte ce sujet », a-t-il conclu.