De nouvelles révélations viennent de tomber cette semaine au sujet de l’émission « Fort Boyard ». Retour sur cette somme hallucinante que les candidats peuvent empocher dans la salle du trésor.
La salle de trésor représente l’une des pièces les plus incontournables de l’émission « Fort Boyard » diffusée sur France 2. Les candidats peuvent remporter un jackpot une fois qu’ils y ont accès.
La salle de trésor : une épreuve décisive
Dans la salle de trésor, la pression monte au moment de trouver le mot code. À titre de rappel, cet endroit représente le point culminant de l’aventure. Les participants ressentent toujours de l’adrénaline au cours de cette dernière étape du jeu. C’est l’occasion pour certains d’entre eux de se surpasser. Cette année, des équipes ont réalisé des exploits en empochant 20 000 € sous les yeux ahuris de Passe-Partout.
Cette somme ne représente rien comparée à ce que regorge cette mine d’or ! « Felindra, tête de tigre ! ». À partir du moment où l’animateur prononce cette phrase, les participants ont des papillons dans le ventre. Un petit grincement et hop, les boyards se mettent à tomber dans la pièce s’ils ont réussi à trouver le bon mot code ! Selon la production, 8000 pièces sont libérées au cours de cette étape. Sachant qu’un boyard égal à une dizaine d’euros, cela représente 80 000 € chaque semaine.
Les Yamakasi : indétrônables dans « Fort Boyard » ?
Depuis le lancement du programme dans les années 90, les équipes ont été plus ou moins épanouies sur le Fort. Parmi ceux qui ont décroché le pactole, il y a ceux qui ont fait monter la pression chez le Père Fouras. Les trois équipes qui arrivent en haut du classement des gains n’ont pas encore été détrônées depuis bien longtemps ! Le trophée des meilleurs candidats de Fort Boyard revient actuellement aux Yamakasi.
Grands vainqueurs de 2001, ils ont raflé 37 118 € dans la salle du trésor. Les Yamakasi sont suivis par deux équipes dont la participation date de 1991. Ces derniers sont composés de candidats anonymes. À l’époque, les participants étaient des personnes méconnues du grand public, contrairement à aujourd’hui.
