Fruits : risque de pénurie sur ces aliments cet été !

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Alors qu’on est en plein été en France, certaines variétés de fruits risquent de faire l’objet d’une pénurie cette année. De quoi s’agit-il ? On vous dit tout !

En raison du froid qui règne sur le sol français, certains fruits disponibles au cours de la saison estivale risquent de briller par leur absence sur les étals des supermarchés. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !

« Il y aura des manques sur des produits peu secondaires »

L’été représente l’occasion de déguster certains fruits disponibles uniquement en cette période de l’année. Malheureusement avec les conditions climatiques et le contexte actuel, certains aliments risquent de ne pas être accessibles. Pour être sûr d’acheter des fruits délicieux et riches en vitamines, il va falloir se rendre au marché. Mais avec la crise ukrainienne qui a mis de l’ombre aux importations et le froid qui a frappé l’Hexagone, certains fruits sont amenés à disparaître…

À l’occasion d’un entretien mené par nos confrères de La Dépêche, Raphaël Martinez, responsable au sein de la Fédération des fruits et légumes d’Occitanie livre un état des lieux convaincant. « La présence des fruits ne devrait pas être déstabilisée… il y aura cependant des manques sur des produits peu secondaires ».

Abricots, pêches, nectarines… les fruits concernés par la pénurie

D’une part, les fraises ne sont pas concernées par cette pénurie. À ce propos, Raphaël Martinez rapporte : « Il y en a autant qu’on souhaite. Il y aura cependant un léger retard avec des prix moins chers ». Les fans de cerises peuvent également être rassurées. Selon la même source : « Il y a eu des dommages à cause du gel, mais sur des zones d’altitude. Il n’y a donc pas d’inquiétude à se faire ».

En revanche, les abricots ne seront pas accessibles avant le 25 mai 2022. Il faudra patienter jusqu’au mois d’août pour pouvoir les déguster. Il en va de même pour les pêches et les nectarines qui ne seront vendues sur les étals qu’à partir de mi-juin. Il va cependant se résigner à ne plus manger du raisin et des prunes. Une conséquence directe de la vague de froid qui risque de perdurer jusqu’en automne…