Ikea a été victime d’un cambriolage bien organisé orchestré par l’un de ses employés. Le butin est estimé à plus de 130 000 €. Mais comment les voleurs ont-ils fait ? Le point à travers cet article !
Voilà une histoire à laquelle personne ne s’attendait ! Un salarié de chez IKEA est parvenu à voler plus de 130 000 € à l’enseigne grâce à une défaillance au niveau du système informatique. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !
Une forme d’arnaque bien rodée
Ce salarié a profité de son titre au sein d’IKEA pour voler une somme colossale à ses employeurs dans le but d’améliorer ses conditions de vie. Les autorités ont mis en examen le principal intéressé, qui travaille dans un magasin de l’enseigne suédoise, situé à Portet-sur-Garonne. Les enquêteurs se sont penchés sur les agressions du trentenaire qui a depuis, abandonné le corps enseignant.
Au début de l’année, le point de vente avait déposé une plainte après qu’une caissière a appris le comportement frauduleux d’un client en possession de plusieurs cartes. L’employé de l’enseigne travaillant au sein du département SAV a remarqué une certaine faille au niveau du système informatique chargé de déployer les reçus et les cartes cadeaux. La somme dépensée pouvait aller de quelques centaines de dollars à plusieurs millions de dollars.
À l’issue de cette opération, le salarié a agi comme s’il savait parfaitement ce qu’il faisait. À titre d’illustration, le cambrioleur utilisait la somme en question pour payer des artisans responsables des travaux. Personne ne se doutait de rien, car les cambrioleurs se présentaient à la caisse avec des marchandises bien créditées.
Un butin estimé à plus de 100 000 €
L’arnaqueur revend par la suite les cartes à des prix défiant toute concurrence (500 € au lieu de 1 000 €). Les autorités responsables de l’enquête ont décidé de le mettre sous surveillance avec d’autres suspects arrêtés dans la Haute-Garonne et dans la Loire-Atlantique. Plusieurs biens ont été saisis dont la valeur totale est estimée à 100 000 €. Par ailleurs, la valeur des biens volés est évaluée à moins de 130 000 €.
Le salarié a plaidé coupable à l’issue de l’affaire. Dans les prochaines semaines, il sera convoqué à la cour pour faire face au tribunal. Affaire à suivre donc !