« Il s’est cassé, il a laissé la maison comme ça » : Jesta Hillmann, brisée, craque face à ses abonnés

Difficile pour Jesta Hillmann de retenir ses larmes face à ses abonnés cette semaine. Qu’est-il arrivé à l’ancienne star de Koh-Lanta ? On vous dit tout !

Jesta Hillmann a les nerfs à cran ! L’ancienne candidate de Koh-Lanta s’est emparée de son compte Instagram cette semaine pour réaliser un témoignage choc. Le point à travers cet article !

Jesta Hillmann pète les plombs !

La semaine a plutôt été cauchemardesque pour Jesta Hillmann. La compagne de Benoît Assadi, ancien vainqueur de Koh-Lanta, et père de ses deux enfants, est rentrée à la maison en faisant une découverte macabre. Quelqu’un a saccagé son intérieur. Sur les réseaux sociaux, elle partage son mécontentement. « Je suis en colère, j’ai envie de tout casser ! Enc*lé de sa mère (…) », s’est-elle indignée.

L’ancienne acolyte de Denis Brogniart poursuit : « Un carreleur est venu aujourd’hui pour réaliser des travaux sur les WC. Je viens de rentrer et la maison est saccagée. Après avoir réalisé ses découpes, il n’a rien fermé. Du coup, les particules de découpe sont entrées partout à l’intérieur. Notre sofa est pourrie, toute la maison est dégueu. Il y a du gris partout ! Il est parti en laissant la maison dans cet état ».

« Je suis médusée… »

A l’issue des travaux du carreleur, le couple n’avait qu’un quart d’heure pour tout nettoyer. « Je suis médusée, vous n’imaginez pas à quel point. Comment peut-on travailler de cette manière ? Il sait que nous avons des enfants qui sont encore petits. On ne peut pas laisser une maison dans cet état ! Les chaussures, les vêtements, les tapis…Tout est en ruines ! Limite, il y a de la fumée partout », s’est-elle indignée.

Réalisant toutes les insultes qu’elle a lancées à l’encontre du malfaiteur, Jesta a fini par présenter ses excuses auprès de sa communauté pour son comportement vulgaire. Le lendemain, une fois la colère passée, la mère de famille a indiqué avoir donné une seconde chance estimant qu’on a tous « le droit à l’erreur ».