Difficile pour Léa Salamé de cacher son inquiétude au sujet de son avenir professionnel. À l’occasion d’un récent entretien, elle a tenu à expliquer les raisons. On vous dit tout !
À l’occasion de son intervention sur le plateau de Dr Good, Léa Salamé a fait des confidences surprenantes face à Michel Cymes. Le point à travers cet article !
Léa Salamé seule aux commandes de son émission
Léa Salamé affrontera la prochaine rentrée avec un défi de taille. À 42 ans, l’animatrice assurera seule les rênes du programme du samedi soir rebaptisé « On ne peut plus rien dire ». Une décision qui résulte du départ de Laurent Ruquier qui n’a plus voulu former un duo pour l’animation de « On est en direct ». Sur Instagram, le journaliste a confié : « C’est une décision personnelle. Je n’étais pas à l’aise dans la co-présentation du débat télévisé. Malgré mes efforts et ma bonne entente avec Léa, c’est trop frustrant pour moi ».
La pression monte ainsi d’un cran pour la chérie de Raphaël Glucksmann. Conviée par Michel Cymes sur le plateau de son émission, la principale intéressée s’est livrée à cœur ouvert. Celle qui a auparavant travaillé pour France 24 évoque ses plus grosses craintes dans le cadre de ce nouveau défi. « J’ai peur de l’échec, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, car j’ai dû me battre pour décrocher cette place ».
« Je crains que tout s’arrête… »
Léa Salamé poursuit : « Peut-être que cette appréhension vient de mes origines. Je suis arrivée en France alors que je n’avais que cinq ans. Jusqu’à aujourd’hui, je crains que tout s’arrête et que je me fasse licencier du jour au lendemain. Il y a 50 % de chance que je réussisse et 50 % de chance que j’essuie la défaite ».
Malgré ces appréhensions, la journaliste s’est énormément entraînée pour gérer le stress. Devant le célèbre médecin du PAF, elle précise : « Si demain, ça ne fonctionne pas, je ne ferais pas la maligne. Dans tous les cas, je n’ai pas l’impression que mon existence s’est achevée ». On lui souhaite bonne chance pour la suite !