« J’ai souffert le martyre » : Ariane Séguillon se livre sur une expérience désastreuse du passé

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À l’occasion d’un récent entretien, Ariane Séguillon a accepté de se confier sans tabou sur l’une des expériences les plus désastreuses qu’elle a vécu par le passé. On vous dit tout !

Interrogée par nos confrères de Purepeople, Ariane Séguillon a fait des révélations glaçantes au sujet de son état de santé, notamment sa perte de poids. L’héroïne emblématique de Demain nous appartient nous raconte une expérience qui lui a marqué à tout jamais.

« C’était désastreuse. J’ai souffert le martyre… »

Dans son ouvrage baptisé « La Grosse », sorti au mois de mars dernier, Ariane Séguillon raconte sa bataille contre ses kilos superflus. Interviewée par Purepeople, l’actrice française a partagé une expérience passée quelque peu traumatisante liée à une opération gastrique. « C’était désastreuse. J’ai souffert le martyre… il fallait boire 2 litres d’eau pour avaler le ballon gastrique. C’était dégueu (…) », déplore-t-elle.

La comédienne de TF1 poursuit : « Il a fallu m’hospitaliser le soir même et m’administrer des calmants. Il aura fallu une semaine avant que je m’y habitue. Certes, j’ai perdu du poids, mais j’ai rapidement repris… c’était l’enfer ! ». Mais un détail en particulier a particulièrement énervé la jolie blonde : « Les médias racontaient que j’avais maigri à cause du sport, ce qui était faux ! ».

Si la comédienne a écrit son dernier ouvrage, c’est surtout pour rendre justice à son frère. C’est ce qui aurait déclenché sa boulimie. Dans ses confidences, la principale intéressée précise : « J’ai perdu un proche qui m’était très cher. Son enfance a été brisée par le viol et la torture. Je voulais m’exprimer à travers mes écrits ».

Ariane Séguillon et Michel Sardou très complices

Ariane Séguillon a profité de cette interview pour revenir sur ses liens étroits avec Michel Sardou. « Le jour où mon frère m’avait dit qu’il allait avoir une trachéotomie complète, j’étais dans un état… Seul Michel avait remarqué que je n’allais pas bien. Il a été formidable (…). On abordait souvent le sujet lié à la prise de poids car sa mère en avait souffert, elle aussi. Il m’avait dit : “Il faut que tu te soignes” ». Une rencontre qu’elle n’oubliera jamais.