De nouvelles révélations viennent de tomber cette semaine concernant Jamel Debbouze. Retour sur cette somme folle déboursée par l’humoriste pour le Marrakech du rire !
Mardi dernier, M6 avait retransmis la 10e saison du « Marrakech du rire » pour le plus grand bonheur des téléspectateurs. L’occasion pour son inventeur, Jamel Debbouze de se confier sur les difficultés rencontrées lors du lancement de ce festival. On vous dit tout !
« Ce festival m’a coûté une fortune… »
« Marrakech du rire » réunit chaque année les plus grands noms de l’humour français à l’instar de Florent Foresti, Gad Elmaleh ou encore Anne Roumanoff. Il s’agit d’un projet qui a vu le jour grâce à l’initiative de Jamel Debbouze qui est aujourd’hui un humoriste et un comédien hors pair. Cette année, le show souffle ses 10 bougies et sera diffusé sur la sixième chaîne.
L’acteur de 47 ans a accepté de se livrer sur le sujet lors d’un entretien pour Le Parisien. Il faut dire que le lancement de ce Festival n’a pas été une mince affaire pour le compagnon de Mélissa Theuriau. Comme il le souligne : « Ce festival m’a coûté une fortune sur le plan humain, physique, mental et surtout financier… mais il m’a aidé à devenir l’homme que je suis aujourd’hui ».
Le rire : le meilleur allié de Gad Emaleh pour combattre la peur
Dans sa prise de parole, Gad Elmaleh se livre également sur ses projets d’avenir. « J’ignore si j’animerais ce Festival durant toute mon existence. Je vais néanmoins me battre pour qu’il existe le plus longtemps possible (…) ». Interrogée concernant la poussée conséquente de l’extrême droite en France, l’humoriste a haussé le ton contre le Rassemblement national.
« Il y a certainement un Français sur deux qui vit dans la précarité. C’est traumatisant de n’avoir rien à manger dans l’assiette lorsqu’on se rend devant Versailles », souligne-t-il dans sa prise de parole. Le père de famille estime que le rire reste l’outil le plus approprié pour lutter contre la peur. « La seule manière d’opérer le changement chez les gens c’est de les faire rire », a-t-il conclu.