Jean-Jacques Goldman a frôlé la mort : cet accident tragique qui a failli lui coûter la vie…

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Jean Jacques Goldman a failli perdre la vie dans un accident tragique. Retour sur ce gros coup de frayeur auquel le chanteur a dû faire face. Le point à travers cet article !

Bien qu’il soit aujourd’hui une star incontournable dans l’univers de la musique française, Jean Jacques Goldman est toujours resté discret au sujet de sa vie personnelle. Pour ceux qui l’ignorent, le chanteur a failli perdre la vie dans un tragique accident par le passé. Retour sur cette mésaventure traversée par l’une des personnalités préférées des Français.

Un artiste de renom

Voilà maintenant plusieurs années que Jean-Jacques Goldman a décidé de faire profil bas face à la pression médiatique. De la vie privée de l’artiste, on ne connaît pas grand-chose aujourd’hui, car il a toujours fait preuve de discrétion sur le sujet. Celui qui a vendu des millions d’albums est également connu pour être l’une des légendes de la troupe des Enfoirés. Il a également collaboré avec de grands artistes à l’instar de Johnny Hallyday, Florent Pagny ou encore Céline Dion.

Avec son talent et sa notoriété, l’interprète de « Je te donne » transforme tout ce qu’il touche en or. Ses chansons auront marqué toute une génération. Avant de chanter en solo, le compagnon de Nathalie était un passionné de musique rock. Il a ensuite créé une bande qu’il a appelée « The Phalansters ».

JJ Goldman frôle la mort

Lorsqu’il était plus jeune, JJ Goldman était déjà très célèbre. C’est ce qui l’a aidé à performer dans plusieurs endroits avec son équipe. C’est en réalisant des mini-tournées que le chanteur a failli mourir. Un épisode traumatisant racontée par son acolyte, Jean Bender dans son ouvrage intitulé « Il suffira d’un signe ». Pour la promotion de ce livre, l’écrivain est revenu sur cette tragédie qui a frappé son ami.

Il s’agit d’un incendie qui est survenu dans le bâtiment dans lequel la bande devait performer. Faute de temps, le spectacle a été annulé au dernier moment. À ce propos, l’auteur explique : « Leur emploi du temps surchargé les a sauvés la vie (…) ». À l’époque, il a été recensé 146 morts à l’issue de l’incendie qui s’est déclaré dans la discothèque de Grenoble. Plus de peur que de mal !