Jean-Luc Reichmann au cœur d’un nouveau bad buzz, trois ans après l’affaire Quesada

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Trois ans après l’affaire Quesada qui a terni l’image des « 12 Coups de midi », Jean-Luc Reichmann se retrouve au cœur d’un nouveau bad buzz. On vous dit tout !

À la suite du scandale lié à l’ex-champion des « 12 Coups de midi », Christian Quesada, Jean-Luc Reichmann doit aujourd’hui composer avec une nouvelle affaire embarrassante. Des précisions sur cette polémique ont été apportées par nos confrères de France Dimanche dans leur numéro du mois d’avril dernier. Le point à travers cet article !

« Son témoignage a de quoi donner des frissons… »

Dans les colonnes de France Dimanche, on peut lire : « Son témoignage a de quoi donner des frissons. Il a suscité la compassion de Jean-Luc Reichmann sur le plateau des 12 Coups de midi. Un rendez-vous quotidien qui rassemble quotidiennement plusieurs millions de fidèles ». Des allégations qui font référence à Harmony.

Cette participante originaire de la Haute-Savoie avait confié devant les caméras de TF1 que sa fille, Victoire avait été victime du SBS (Syndrome du Bébé Secoué). À ce propos, la mère de famille avait expliqué : « C’est la chose la plus terrible qu’on puisse faire à un bébé » en soulignant les impacts horrifiants de cette pratique.

La candidate du jeu de midi poursuit : « Lorsqu’on est épuisé, et ça peut arriver à tout le monde, il faut mettre l’enfant au lit et se reposer… avec un geste anodin, l’enfant qui, à priori, est en pleine forme va subir une opération de cinq heures. Elle a eu des drains, car elle a fait des hémorragies internes et deux rétiniennes à quatre mois et demi ».

« Les 12 Coups de midi » au centre de la polémique ?

À la suite de ce témoignage, Harmony a été visée par des accusations venant de l’association Stop Bébé Secoué. La principale intéressée a donc décidé de mettre les points sur les « i » en expliquant qu’elle n’a jamais son enfant. Ce jour-là, elle l’avait confié à son papa vers 9 h. Deux heures après, le père de famille l’appelle pour lui prévenir quelque chose d’anormal.

« À mon arrivée, ma fille était allongée sur une table, inconsciente, entourée de pompiers. L’enquête a été classée sans suite pour insuffisance de preuves. J’ignore qui a secoué ma fille, mais ce n’était pas moi », a-t-elle fait savoir. Une histoire qui risque de faire couler beaucoup d’encre sur TF1