À l’occasion d’un reportage consacré à Jean-Luc Reichmann, l’animateur de TF1 s’est livré sur une violente et douloureuse thérapie qu’il a dû suivre lorsqu’il était plus jeune. Finalement, le traitement n’aura servi à rien. Et pour cause…
Jean-Luc Reichmann fait aujourd’hui partie des personnalités préférées des Français. Celui qui anime chaque jour Les 12 Coups de midi sur TF1 se distingue par sa personnalité attachante et son côté bienveillant. Pour tenter de se débarrasser de la tâche qu’il a sur le nez, le présentateur a eu recours à une douloureuse thérapie.
« À l’école, on me surnommait la tâche… »
Jean-Luc Reichmann et son équipe sont ravis de fêter l’anniversaire des 12 coups de midi. Pour marquer les 12 ans du programme, la production a décidé de lancer un nouveau Tournoi des maîtres réunissant les plus grands champions du jeu. La première chaîne a également diffusé un reportage entièrement consacré à son animateur. Si l’émission du midi cartonne autant aujourd’hui, c’est grâce au mari de Nathalie Lecoultre.
Mais derrière cette belle personne s’est caché une enfance particulièrement douloureuse. Il faut dire que la tâche de vin sur son nez n’a pas toujours mené la vie facile au présentateur. Une spécificité physique qui l’a même beaucoup frustré par le passé. « À l’école, on me surnommait la tâche… c’était resté ancré en moi à tout jamais », avait-il confié auprès ne nos confrères de Ciné Télé Revue.
Un traitement atrocement douloureux
Las des critiques et de la méchanceté gratuite, Jean-Luc Reichmann a essayé de se débarrasser de son angiome. À ce propos, l’animateur raconte : « Ma maman m’avait emmené à l’hôpital pour faire un traitement à la neige carbonique… ça se voyait encore plus, c’était horrible. On a répété l’opération trois fois et j’ai demandé à arrêter ». Par la suite, il a appris à vivre avec.
Dans son récit, l’interprète de Léo Matteï souligne : « Le plus difficile c’était l’adolescence. Les filles me rejetaient à cause de ma tâche sur le nez. Ensuite, j’avais réalisé qu’en les faisant rire, elles finissaient par s’attacher à moi. J’ai fait de cette différence mon pouvoir de séduction ». Aujourd’hui, le collègue de Zette assume parfaitement son angiome, sans complexe.