Koh-Lanta : les confidences CHOCS d’Olga sur les conditions d’hygiène dans l’émission

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« Quelle horreur ! ». Olga, l’une des aventurières de Koh-Lanta est récemment passée aux aveux concernant les conditions d’hygiène dans l’émission de survie diffusée sur TF1. On vous dit tout !

Mardi dernier, les candidats de « Koh-Lanta : le totem maudit » ont vécu la réunification sur TF1. À l’occasion d’une récente entrevue, Olga a accepté de se livrer sur son parcours en révélant au passage les conditions d’hygiène sur l’île. Le point à travers cet article !

Olga déçue de l’élimination de Colin

À la suite de l’élimination d’Alexandra suivie de celle de Colin après la réunification, Olga a dû dire adieu à son alliance avec les autres aventuriers dans « Koh-Lanta : le totem maudit ». Désormais, elle vit son aventure toute seule alors que le programme est en passe de toucher à sa fin. En effet, les tribus sont désormais réunifiées sur TF1. La jeune femme s’est livrée à cœur ouvert sur son parcours lors d’un entretien pour BuzzTV.

Olga a profité de l’occasion pour mettre les choses au clair concernant les rumeurs supposant qu’elle est en couple avec Colin. Celle qui a auparavant dansé au Moulin Rouge souligne : « Il n’y aura plus d’alliance. Avec Colin, nous étions très complices, le courant est très vite passé entre nous. On ne s’est jamais quittés. On s’est promis de rester toujours ensemble (…) ». Une complicité qu’elle assure ne pas déranger son époux.

« Notre propre odeur nous dérange… »

Olga enchaîne en évoquant les conditions d’hygiène dans l’émission. Interrogée au sujet de la libido, elle explique : « C’est le calme plat. On en a discuté entre nous, mais c’est la mort durant Koh-Lanta. C’est une aventure compliquée, on n’a pas la force pour ça ». Pour ce qui est de l’hygiène, l’aventurière est également catégorique. « Comme il n’y a ni savon ni douche, c’est l’enfer. Notre propre odeur nous dérange. Dès qu’on fait le moindre effort, on se dit quelle horreur ! Les premiers jours c’est dur, mais après, on finit par s’y habituer », a-t-elle conclu.