La mise au point cash de Nathalie Marquay au sujet de sa tribu : « On ne s’appelle pas Johnny Hallyday »

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Dans le cadre d’un entretien pour Le Parisien, Nathalie Marquay a tenu à faire une mise au point cash au sujet de sa tribu. Retour sur les déclarations fracassantes de la veuve de JPP.

Plusieurs mois après la tragique disparition de Jean-Pierre Pernaut, sa veuve, Nathalie Marquay a tenu à faire une importante mise au point dans les colonnes du Parisien. En cause, les rumeurs liées à la succession de sa famille. Le point à travers cet article !

Nathalie Marquay met les points sur les « i »

Le 2 mars dernier, c’est avec beaucoup de tristesse qu’on apprend la tragique disparition de Jean-Pierre Pernaut. L’ancien pape du 13 h de TF1 laisse derrière lui sa femme et ses deux enfants aînés. Dans le cadre d’une interview menée par nos confrères parisiens, l’ancienne Miss France a tenu à mettre les choses au clair. « Ma fille dispose de son propre logement à Paris. Mon fils poursuit ses études à Lille. Ça se passe à merveille avec son ex-compagne et ses deux enfants aînés. Nous sommes solidaires », a-t-elle souligné.

Nathalie Marquay poursuit en ajoutant : « On ne s’appelle pas Johnny Hallyday et on n’a pas son statut ». La mère de famille précise ensuite : « Avec Jean-Pierre, on n’avait pas peur d’aborder le sujet lié à la mort. Je dois dire ce qui est mieux pour les enfants, pour les protéger. Tout ça a été bien fait ».

Un nouveau départ pour la veuve de JPP

Nathalie Marquay profite de cette prise de parole pour faire savoir qu’elle a décidé de quitter la maison où elle avait habité avec son mari avant son décès. « Le 17 décembre, on avait visité cette maison ensemble. À l’hôpital, il voulait que je lui fasse découvrir des images de la propriété. Ça le mettait en confiance. Je lui avais préparé une surprise pour ses 72 ans en aménageant une cave à vin dans le salon ».

Et la jolie brune de poursuivre : « ll n’arrêtait pas de me demander : “C’est quoi ma surprise ?”. Je me suis effondrée en larmes juste avant l’opération, car l’intervention était très risquée. Il était heureux ». Paix à son âme !