Alors que l’inflation continue à sévir en France, l’État prévoit une prime pour aider les Français à réaliser leurs courses au quotidien. À combien s’élève-t-elle ? Le point à travers cet article !
Avec la flambée des prix des PPN, du carburant et autres produits essentiels du quotidien, cette prime représente un précieux coup de pouce pour de nombreux Français. Après plusieurs mois de patience, la voilà qui va atterrir sur le compte bancaire des bénéficiaires. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !
Qui peut accéder à ce chèque alimentaire ?
Pain, farine, sucre, huile… davantage de produits essentiels du quotidien qui ont fait l’objet d’une hausse au cours des derniers mois. Une situation cauchemardesque pour les Français qui voient leur pouvoir d’achat s’affaiblir de jour en jour. À cela s’ajoute le prix du carburant et des frais de transport qui a atteint des records. Pour faire face à cette urgence, le gouvernement a décidé d’instaurer un chèque alimentaire.
Le versement de cette prime est prévu pour la fin de cette année. Mais attention ! Cette aide ne concerne pas tout le monde. Selon le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, ce dispositif serait mis en place après l’élection d’Emmanuel Macron. De son côté, le député Mounir Mahjoubi annonce une proposition chiffrée allant de 30 à 60 € par mois. Pour l’heure, aucune précision n’a été donnée sur le montant exact de cette prime.
À présent que le mari de Brigitte Macron a bel et bien été réélu, tout le monde attend avec impatience. Selon nos confrères, le chèque alimentaire profiterait aux 18 à 25 ans disposant d’un revenu relativement modeste. Il en va de même pour les foyers avec des enfants vivant dans la précarité.
Les craintes liées au chèque alimentaire…
Au micro de France Bleu, Emmanuel Macron a fait savoir que la prime profiterait aux « classes modestes » et aux « classes moyennes ». Dans son discours, le chef d’État souligne : « Près de 8 millions de Français rencontrent aujourd’hui des difficultés à accéder aux produits locaux. Il faut les venir en aide ».
De son côté, le responsable du groupe Leclerc souligne : « Ce qui serait désolant c’est que l’on attribue des chèques alimentaires pour des Français qui vont le dépenser dans des supermarchés plus chers », sur une note d’inquiétude.
