Laeticia Hallyday: Jalil Lespert, son ex au cœur des tourments à cause d’une mise en examen

Sonia Rolland, l’ex-compagne de Jalil Lespert ne serait pas tranquille ces derniers temps. L’actrice est actuellement au cœur des tourments. Et pour cause…

Bien qu’elle soit impliquée dans une affaire qui fait couler beaucoup d’encre depuis quelques jours, Sonia Rolland peut être sereine, à en croire les déclarations de son avocat. La rédaction de JFD vous en dit plus dans les prochaines lignes !

Sonia Rolland empêtrée dans une sombre affaire

Au début de cette semaine, Sonia Rolland a été mise en examen pour une affaire de détournement de fonds publics. L’ex-compagne de Jalil Lespert est également accusée d’abus de bien sociaux et de corruption. L’ancienne reine de beauté a reçu un présent du défunt président gabonais, Omar Bongo, il y a quelques années. À savoir un appartement de prestige valant plus de 600 000 €, implanté au cœur de la capitale française.

La jolie brune de 41 ans avait déjà été auditionnée l’année dernière par les membres de l’OCRGDF (Office central de répression de la grande délinquance financière). La mère de famille avait livré sa version des faits concernant ce précieux cadeau qui lui a été offert. Selon nos confrères de Libération, elle aurait rencontré Édith Bongo, la femme de l’ancien chef d’État gabonais en 2001. Cette dernière lui aurait offert ce cadeau en guise de gratitude pour l’image qu’elle reflétait sur le continent africain.

L’actrice reste confiante

L’accusation estime que Sonia Rolland aurait dû être informée au sujet du « mode d’acquisition frauduleux » de cet appartement. Dans les colonnes du Parisien, son avocat explique : « À l’époque, ma cliente avait à peine 22 ans. Elle venait d’atterrir dans un univers qui lui était complètement étranger. Elle s’est expliquée en détail concernant les modalités d’acquisition de cette propriété qu’elle n’a pas sollicitées ».

Selon nos confrères, la comédienne avait avoué avoir été trop « naïve » en acceptant le cadeau, mais la principale intéressée nie toute infraction. Comme le souligne Maître Charles Morel : « À aucun moment, elle n’était au courant de l’origine des fonds. Elle a remis sa confiance entre les mains du notaire. Ma cliente ne doute pas qu’elle sera mise hors de cause à l’issue de cette affaire ».