Leboncoin : Faites gaffe à cette arnaque si vous décidez de vendre votre voiture sur le site !

© Eplaque

Avis à tous ceux et celles qui projettent de vendre leur voiture sur la célèbre plateforme « Leboncoin ». Une nouvelle forme d’arnaque vient d’être signalée. On vous explique tout !

Un Français originaire de Seine-Maritime a récemment été victime d’une arnaque en cédant sa voiture sur le site « Leboncoin ». Les escrocs ont mis en place un stratagème ultra sophistiqué pour soutirer de l’argent de la part de la victime, à son insu. Le point à travers cet article !

Un vendeur se fait arnaquer sur Leboncoin

La rédaction de JFD appelle aujourd’hui à la méfiance des internautes, surtout ceux qui ont l’habitude de vendre des produits sur Leboncoin. Les arnaqueurs ne cessent de redoubler d’inventivité pour appâter les victimes. Au mois d’avril dernier, l’homme a mis sa BMW en vente sur la plateforme pour une valeur de 29 900 €. Très vite, il est contacté par quelqu’un qui lui réclame de plus amples informations.

Le potentiel acheteur lui demande alors son identité dans le but d’écrire un chèque à son nom. Le vendeur procède de la même manière pour un certain Émile dans le but de réaliser l’acte de vente. Le jour suivant, il obtient un cliché du chèque. Un rendez-vous est fixé le 16 avril. Mais avant le jour J, le vendeur contacte l’agence de la banque ayant émis le chèque pour vérification.

Malheureusement, l’institut est fermé le weekend pascal. Le vendeur décide malgré tout de se rendre à cette rencontre avec sa BMW. Arrivé sur les lieux, il tombe sur trois individus, dont l’acheteur, Émile. Ils se rendent plus tard au domicile du vendeur pour écrire les papiers. Plus tard, les trois personnes repartent avec la voiture vendue. Le vendeur a pu s’emparer du chèque de banque, mais il n’est pas au bout de ses surprises.

Une arnaque bien huilée

Mardi 19 avril, en recontactant l’agence, le vendeur apprend que le chèque a été annulé juste avant qu’il n’appelle. Il réalise alors qu’il vient de se faire arnaquer. La victime décide de porter plainte et contacte son assurance pour faire une déclaration de vol. À son grand regret, la compagnie lui annonce que seuls les « vols par effraction » et les « agressions » sont couverts. Depuis, il n’a plus aucune nouvelle ni de la banque ni de l’assurance. D’où l’intérêt de redoubler de vigilance !