Marie Trintignant agressée par Bertrand Cantat : ce texto compromettant envoyé à sa mère avant son décès !

De nouvelles révélations viennent de tomber concernant la mort de Marie Trintignant. Retour sur ce texto compromettant envoyé à sa maman avant son décès.

En août 2003, Marie Trintignant a brutalement perdu la vie à cause d’un œdème cérébral provoqué par les agressions de son compagnon, Bertrand Cantat. Les jours précédant la mort, la comédienne avait envoyé un texto traumatisant à sa maman, Nadine Trintignant. Le point à travers cet article !

« Elle était de plus en plus malheureuse… »

Au mois de juillet 2003, Jean-Louis et Nadine Trintignant vivent un cauchemar. La réalisatrice était alors en Lituanie où sa fille Marie travaillait sur le tournage du film « Colette une femme libre ». Elle apprend que cette dernière a été évacuée aux urgences. Les jours suivants, l’actrice perd la vie. La mort a été causée par un œdème cérébral. Un drame qui a dévasté la mère de famille.

Très complice avec sa fille, Nadine explique n’avoir « rien compris » de ce qu’elle endurait bien qu’elle soit consciente des difficultés rencontrées au sein de son couple avec Bertrand Cantat. À ce propos, la mère de famille souligne : « J’avais constaté qu’elle était de plus en plus malheureuse. Elle changeait sous l’influence de son mari ».

Ce mystérieux texto envoyé par la victime avant sa mort

Deux semaines avant le décès de Marie Trintignant, cette dernière avait échangé par SMS avec sa mère. Dans le message, la victime cite un vers de Baudelaire avant de terminer le texto par « Ta fifille battue ». Interrogée par nos confrères, Nadine Trintignant explique : « Je n’ai pas imaginé une seule seconde que ma fille pouvait se faire battre », souligne-t-elle, sur une note de déception.

La principale intéressée précise qu’avec sa fille, ils avaient l’habitude de parler sur le ton de l’humour. Aujourd’hui, elle ne ressent que de la haine envers son beau-fils qu’elle qualifie d’assassin. « Il est hors de question pour moi de pardonner ce qu’il a fait à ma fille (…). Le véritable pardon consiste à oublier le mal que l’on vous a fait. Pour ma part, je n’oublierai jamais ce qui est arrivé donc je ne le pardonnerai jamais ».